1. Ma nouvelle collègue


    Datte: 11/10/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, grosseins, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fouetfesse, fsoumisaf,

    ... m’améliorer.— Tourne-toi face au miroir Elle me présente son dos, à travers le tissu de son chemisier je dégrafe son soutien-gorge. Sa poitrine se relâche à peine tellement elle est ferme, ce qui a le don t’attiser en plus ma jalousie et de m’énerver. Je dis sèchement : — Allez, enlève-moi ça, tu vois bien ce que je veux !— Oui, mais… mon chemisier…— Quoi ton chemisier ?— Il est assez transparent et…— Et alors quoi ? Allez enlève-moi ça qu’on aille manger, j’ai faim ! Elle s’exécute et comme si elle en avait l’habitude réussit à faire glisser ses bretelles le long de ses bras sans enlever sa grande chemise blanche. Quelques secondes plus tard toujours face au miroir elle extirpe son soutien-gorge de dessous et le tend à bout de bras : — Voilà je l’ai enlevé.— Bien, j’aime que tu m’obéisses sans discuter, c’est juste bon à m’énerver et à rendre ma punition plus sévère. Sa poitrine m’a toujours captivée, aussi bien par jalousie que par le plaisir que je prends de plus en plus à la regarder et là je suis comblée. À travers la blancheur transparente du textile, par le biais du miroir, je vois ses deux gros seins fièrement dressés se dessiner en ombre chinoise. Selon la lumière ses deux larges aréoles font deux gros disques sombres qui sautent aux yeux au premier regard. Ses mamelons libérés de toute protection dardent à travers le chemisier comme s’ils allaient passer à travers. Mes mains n’y résistent pas et se glissent sous ses bras pour s’emparer de ses mamelles si ...
    ... accrocheuses. Sans surprise je trouve des chairs très fermes, et encore moins surprise par le petit cri que pousse Catherine. Il est un mélange entre un gémissement et un grognement. Je retire mes mains prestement, ce n’est ni le lieu ni le bon moment, pas encore. — Tu es parfaite ainsi, j’espère que ça te servira de leçon. Attends, arrange-toi un peu là. Sans attendre qu’elle comprenne ce que je veux dire, je saisis son legging que je tire vers le haut au risque de vois mes ongles passer à travers. Ce qui a pour effet de mouler encore un peu plus son cul cambré et son sexe. Quand nous retraversons une partie du restaurant pour rejoindre notre table, inutile de dire que Catherine ne passe pas inaperçue. Malgré sa fermeté qui semble à toute épreuve, sa poitrine libre de tout soutien s’agite au rythme de ses pas. Bien sûr le reste finit par totalement accrocher tous les regards qui s’y posent. Quand nous sommes assisses, la serveuse nous pose sur la table le menu du jour non sans montrer son étonnement quand elle remarque la poitrine dénudée de Catherine. Ses yeux s’agrandissent, sa tête fait un léger mouvement de recul, elle regarde Catherine et puis moi-même mais toutes les deux nous restons le nez planté dans nos assiettes. Elle étouffe un petit rire puis s’en retourne en secouant la tête. Quelques remarques bien grasses parviennent à mes oreilles en provenance de tables les plus proches. Catherine aussi les entend, j’en suis sûre, c’est peut-être pour ça qu’elle a l’air plus excitée ...
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