1. Ma nouvelle collègue


    Datte: 11/10/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, grosseins, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fouetfesse, fsoumisaf,

    ... les détails de sa poitrine, et Dieu sait s’il y en a à voir. D’ailleurs cette garce doit faire exprès de passer son temps devant la porte-fenêtre, elle voit l’excitation de son client et ça la fout en transe. Enfin c’est l’impression que j’ai même si elle a l’air de faire son boulot mais ses yeux qui brillent, ses rougeurs sur la figure me rappellent trop les récentes expériences que nous avons eues ensemble. — Tu devrais peut-être montrer la mezzanine à monsieur, dis-je en faisant un signe de la tête pour la montrer— Oui, c’est vrai que c’est un atout important de cet appartement. Catherine commence à grimper les marches particulièrement raides de l’escalier qui mènent à celle-ci. En fait d’escalier on est plus proches d’une échelle. — Venez, suivez-moi, elle n’est pas très grande mais parfaite pour installer un lit d’appoint, d’ailleurs vous verrez il y en a un. Bien qu’il soit à la vente, l’appartement n’est pas complètement vide. Quelques meubles sont encore présents. Le jeune homme s’enfile à la suite de Catherine sur l’échelle. Alors qu’il est sous elle, Catherine stoppe au sommet et continue à vanter les avantages d’une mezzanine. Si bien que notre client a sa tête plantée au niveau de ses fesses dès qu’il lève les yeux pour l’écouter. Catherine a un pied sur une marche, ou plutôt un barreau et l’autre sur celui du dessus. Ceci lui écarte l’entrejambe et offre à quelques centimètres du nez de notre cycliste sa vulve imbibée et recouverte de son voilage blanc. Le ...
    ... gonflement sous le cuissard devient de plus en plus évident, il bande comme un taureau. Catherine prend enfin pied sur la Mezzanine, rejointe peu après par notre jeune client. Je reste en bas mais garde un œil sur eux deux. — Fait une douce chaleur ici, c’est toujours comme ça dès qu’on monte avec les hauts plafonds. Disant cela Catherine dégrafe un ou deux boutons de sa tunique, élargissant son décolleté. La descente est plus rapide que la montée et les deux se retrouvent en bas. Elle vante maintenant les mérites de la petite cuisine, se penche pour ouvrir les tiroirs les plus bas. Son décolleté s’élargit à chaque occasion laissant pleinement voir ce que le manque de transparence de la tunique pouvait encore masquer. La grosseur sous le cuissard n’évolue plus, il a atteint le comble de son excitation et ses yeux n’ont plus aucun intérêt pour l’appartement. Je ne suis pas mieux, je suis moi aussi sur des braises et follement excitée par tout cela. Au cours de sa démonstration Catherine se retrouve accroupie aux pieds de notre visiteur, ouvrant un tiroir. Je trouve là une belle occasion d’arriver aux termes de cette visite. Prenant la tête de Catherine, je la pousse vers le bassin de notre client et le gonflement qui s’y trouve. — Je pense que monsieur attend un petit effort de ta part pour t’excuser de toutes les idioties que tu as faites et lui avoir fait perdre son temps, n’est-ce pas ?— Heu… C’est à dire que… bafouille le cycliste. La bouche de Catherine rentre en contact de la ...
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