1. Ma nouvelle collègue


    Datte: 11/10/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, grosseins, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fouetfesse, fsoumisaf,

    ... première vers le fond. Elle est maintenant courbée en deux, son fessier offert et tendu vers nous. Je suis trop excitée pour résister et je lance une claque magistrale sur ce cul, je recommence et encore une fois. Un profond gémissement revient chaque fois à mes oreilles ce qui me fait me lâcher un peu plus : — Regarde comme cette garce aime ça. Ma main descend vers son entrejambe où la tache d’humidité fait la taille d’une bonne main. Mes ongles agrippent le legging en plein milieu de cette large auréole et tirent dessus. Le tissu cède et se déchire, de l’autre main je tire pour agrandir le trou si bien que le cul de Catherine est désormais à nu en grande partie. Son sexe aussi apparaît, ouvert, luisant du jus qu’il sécrète depuis le début de la journée, ses lèvres sont gonflées et ressortent comme si on les tirait à l’extérieur avec un fil invisible. Prenant à pleine main une de ses fesses, perdant tout contrôle des réalités je dis : — Regarde ce cul, Michael, elle est bonne qu’à ça, montrer son cul de salope (je finis mes mots par une nouvelle claque qui fait trembler ses fesses en tous sens). Vas-y, elle attend que ça. Il n’y a pas besoin de le dire deux fois, dès que je m’écarte Michael se colle derrière Catherine, la saisit par la taille et la pénètre d’un coup de reins. Un râle profond sonne dans le petit appartement, Catherine apprécie. Mais ce n’est pas que des cris qu’elle pousse maintenant à chaque mouvement qui se ponctue par le claquement du bassin de Michael ...
    ... sur ses rondeurs charnues. Maintenant c’est un gémissement continu qui résonne dans la pièce, je ne savais pas qu’on pouvait jouir en faisant autant de bruit. Je me suis replacée sur la table, de trois quarts face à elle, ma jupe se retrouve sur mes hanches. Mon slip est maintenant aussi détrempé que son legging tellement mes caresses sont fructueuses. Je regarde toujours Catherine en train de se faire prendre, ses seins ont débordé de sa tunique et pendent, s’agitant à chaque coup de Michael. Ses mamelons sont énormes, dressés à en frotter le coussin du fauteuil. Sa bouche est ouverte et hurle son plaisir sans interruption. Ceci me donne une envie, j’ôte ma culotte bien imbibée de mon jus et je me dirige vers sa tête, la soulève et enfourne mon slip trempé dans sa bouche ouverte. Ceci diminue le niveau de ses cris mais pas leur rythme. Quelques coups de reins plus tard, notre jeune cycliste se crispe sur les hanches et jouit en elle en finissant par deux ou trois coups plus fort que les autres. Il se retire, transpirant comme s’il venait de faire l’ascension de je ne sais quel col de haute montagne — J’espère que cela compense en partie les désagréments causés par ma collègue.— Oui… Je crois… Cela devrait beaucoup y aider.— Bien, j’espère que nous vous reverrons pour une deuxième visite, si l’appartement vous intéresse, dis-je totalement inconsciente du spectacle que j’offre. J’ai toujours ma jupe en partie retroussée, formant une sorte de minijupe d’où seules mes jambes ...