1. Snowballs


    Datte: 12/10/2020, Catégories: fh, campagne, froid, intermast, Oral pénétratio,

    ... s’attardant sur le reste de son sexe, léchant les fluides qui s’y trouvaient, la pénétrant de sa langue. N’y tenant plus, Jordan saisit une poignée de ses cheveux, plus violemment qu’elle ne l’aurait voulu, et tira son visage contre elle. Plus haut. — Ici, putain. Il ne protesta pas, et frotta la pointe de sa langue contre le renflement à vif qui se dissimulait sous les tendres plis. De petits coups, sous le bouton, d’une langue vive et pointue. C’était exactement ce que le corps de Jordan réclamait et l’orgasme déferla sur elle d’un coup, sans préambule. Cette fois elle cria alors que la sensation la submergeait de nouveau, plus violente encore que la précédente, une langue de feu remontant de son clitoris jusque dans chaque millimètre de sa peau. Ce fut un grand « putain, oui », qui fit dresser les oreilles à Chewie, parti roupiller plus loin. — J’ai toujours un peu envié les femmes et leurs orgasmes en série, commenta Ben en s’essuyant la bouche du revers de la main.— Eh ouais. C’est pour compenser les humiliations et les différences salariales, fit Jordan, encore frémissante sur les fourrures. Ben haussa les sourcils, mais il choisit de ne pas se lancer là-dedans. Il connaissait à peine Jordan, en fait. Il savait juste qu’elle était anglaise, tout à fait à son goût, perdue dans le Montana, et qu’elle aimait le sexe. Ça lui irait pour le moment. — Est-ce que tu veux que j’y retourne ? demanda-t-il en toute bonne foi. Jordan sourit. — Trois orgasmes, c’est bien. Je vais ...
    ... survivre sans un quatrième dans la foulée. On gardera celui-là et les numéros 5 à 12 pour ce soir.— Douze, hein ?— Au moins, oui. Et pour toi, quelques-uns aussi, qu’en dis-tu ?— Ça me va. Je vais retourner pelleter, alors. Jordan referma les boutons de sa chemise alors que Ben enfilait son slip. — J’ai préparé un ragoût, dit-elle. Pour reprendre des forces avant d’y retourner.— Tu es merveilleuse. Il se pencha pour l’embrasser. Son haleine sentait le sperme. Jordan songea qu’il l’avait léchée sans hésiter alors qu’elle était pleine de foutre, et en fut flattée. Elle aimait qu’un homme soit suffisamment ouvert pour faire ce genre de chose. C’était sexy. Décidément, les ploucs du Montana étaient moins coincés que la plupart des Londoniens ! Il ne cessait pas de la surprendre. Elle le regarda s’habiller, enfiler une nouvelle chemise, puis se servir un bol de ragoût. Il lui en apporta un, avec une fourchette. Elle remonta les genoux contre sa poitrine pour manger. C’était bon, et chaud, son corps était au septième ciel. Chacun de ses sens était satisfait. L’odeur de la cheminée, la saveur du ragoût, la chaleur du foyer, le crépitement des flammes, la langueur de son corps après l’amour. L’après-midi passa vite. Ben Hodges dégagea l’accès au cabanon, sortit la motoneige, contrôla le moteur et le carburant. Puis il prêta des vêtements chauds – infiniment trop grands pour elle – à Jordan et ils firent un tour pour chauffer la mécanique, et l’habituer à la nervosité de l’engin. La nuit ...
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