Solange, aventure avec mon chef
Datte: 12/10/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
grosseins,
fépilée,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... téléphoner. Nous avons toute la nuit, et une grande partie de la journée de demain si vous le voulez. Et, appuyée à la paroi de la douche, penchée en avant, joignant le geste à la parole, je m’enfonce l’engin dans le sexe. Gabriel ne lâche pas mes seins, qu’il pelote maintenant avec plus de maîtrise. Il s’appuie la poitrine sur mon dos, et sous le jet qui continue de couler, sur nos corps embrasés, il me besogne avec application. Ses mains viennent caresser mes hanches, l’une d’elle s’aventure sur mon mont de Vénus, comme pour caresser mon clitoris. Puis, il a un moment d’hésitation et ses doigts reviennent s’agripper à mes gros flotteurs. — Allez, baise-moi plus fort. Puisque tu en rêves depuis si longtemps, tu dois avoir des ressources en réserve.— Tu aimes que ce soit viril ?— Oh oui ! Et comme tu imaginais de me prendre sur ton bureau, vas-y baise-moi comme une chienne. J’aime que l’on me défonce avec énergie. Vas-y ramone-moi le con. Fais aller ta bite à fond. J’ai substitué au vouvoiement que je lui avais imposé un tutoiement qui me permet d’être plus spontanée dans mes propos. J’aime à utiliser parfois des mots orduriers lorsque je m’offre ainsi à un amant nouveau. J’ai le sentiment d’être une autre personne. J’apprécie que lui-même me traite comme une catin, en utilisant des mots destinés à m’abaisser. Par contre, lorsque notre relation est établie, que l’amant, d’un soir ou deux, a acquis, grâce à ses talents, un statut lui permettant de me revoir, j’apprécie que ...
... l’homme qui me fouaille les entrailles y glisse aussi un peu de douceur. Mais je veux qu’il sache continuer à me montrer qu’il me domine. C’est probablement des restes de la manière dont j’ai été initiée à l’amour physique. C’est aussi sans doute cette initiation qui me conduit à m’offrir, à des inconnus, comme une chienne recherchant uniquement l’intensité d’un plaisir physique, tout en monnayant parfois le plaisir que je leur procure. Je suis amoureuse de Pascal, et il sait comme peu d’hommes, me procurer les sensations que j’attends de l’acte d’amour, mais je ne peux m’empêcher d’aller recueillir dans des étreintes fugitives, adultères, voire tarifées des voluptés qui me comblent. Gabriel, stimulé par mes cris, j’ai la jouissance bruyante, me défonce à grands coups de reins. Je suis cramponnée à la colonne d’où s’écoule un jet puissant, brûlant. Bientôt mon amant s’abandonne lui aussi dans un spasme qui tend sa verge dans mon vagin et m’inonde d’un liquide épais qui s’écoule entre mes cuisses et que je regarde s’évacuer sous le flux de la douche. J’offre ma bouche à mon amant qui maintient son sexe dans le mien. Il m’embrasse avec passion. Je lui ouvre ma bouche, je mélange ma langue, ma salive avec les siennes. — C’est vrai que tu en avais vraiment envie de me baiser, lui dis-je entre deux baisers. Nous reprenons notre souffle, et je lui demande : — As-tu suffisamment envie de moi pour recommencer ?— Toi aussi tu voulais que je te possède ! Et, je suis prêt à y passer la ...