Solange, aventure avec mon chef
Datte: 12/10/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
grosseins,
fépilée,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... cette petite sauterie, je me suis dit que c’était l’occasion d’en profiter. Chez vous, et alors qu’il ne serait pas là.— Alors tout ceci, votre fatigue, le besoin de vous reposer, c’était prémédité ?— Oui !— Donc, vous en voulez à Pascal de vivre avec moi, de me sauter ? Et vous pensez qu’aujourd’hui, sur votre simple décision, je vais m’abandonner à vos caprices ?— Oui, bien évidemment. Ne suis-je pas irrésistible ? N’ai-je pas bien manœuvré ?— Peut-être, vous avez été astucieux. Mais, je n’aime pas être piégée. Je crois que vous allez me remballer votre matériel, et me laisser me coucher toute seule en attendant fidèlement mon seigneur et maître.— Allons, vous n’allez pas me faire partir maintenant, alors que nous avons fait une grande partie du chemin. Vos rondeurs m’affolent, vous les avez exhibées sous mes yeux tout l’après-midi, et ce string qui ne cachait rien de votre anatomie ! Là, maintenant, après m’avoir laissé vous caresser je crois les connaître un peu mieux, mais j’aimerais faire une visite approfondie de vos grottes secrètes. Et puis ce pieu que vous astiquez avec autant de dextérité souhaiterait être achevé par votre bouche. Je rêve de votre bouche quasiment chaque nuit. Est-ce que Pascal sait apprécier à leur juste valeur les trésors que vous mettez à sa disposition ?— Ne vous inquiétez pas pour lui, il sait me faire reluire autant qu’il le faut. Alors, en plus de vouloir me baiser, vous voulez que je vous suce, comme cela, sans cérémonie ?— J’en rêve. ...
... Tenez regardez comme je suis déjà tout excité.— Oui, c’est pas mal. Mais vous êtes un individu gonflé et pas seulement du pénis, assez mal élevé aussi. Pourtant, votre verge turgescente est bien tentante, je crois que je vais vous donner votre chance.— Oh, j’en suis ravi ! dit-il en m’embrassant à nouveau à pleine bouche. Je me laissais faire complaisamment. J’avais envie subitement de m’abandonner entre ses bras. Et puis tant pis si Pascal en serait froissé. De toute façon, il n’était pas là, et, comme les absents ont toujours tort. — Et puis ? ajoute-t-il.— Pascal ne devrait pas rentrer avant le petit matin. Je crois que son colloque ne s’achève pas avant le milieu de l’après-midi. Et Bordeaux, c’est loin. Même en roulant comme il en a l’habitude, à tombeau ouvert, il ne sera pas là avant demain matin. Pendant tout cet échange Gabriel n’a pas cessé de me malaxer la poitrine comme s’il voulait en extraire un quelconque philtre propre à développer ses capacités amoureuses. Et ses caresses devaient avoir effectivement cet effet aphrodisiaque attendu car je sentais son phallus se développer entre mes fesses. — Eh bien, dis-je, en empoignant le mandrin raide et gonflé de sève pour le présenter à l’entrée de ma vulve, ne perdons pas de temps. Profitons de cette nuit dès maintenant. Puisque vous rêviez de me baiser, enfilez-moi donc cette verge dans le con sans attendre. Et puis, comme vous l’avez deviné, Pascal ne rentrera pas ce soir, ni demain matin d’ailleurs. Il vient de me ...