Solange, aventure avec mon chef
Datte: 12/10/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
grosseins,
fépilée,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... provoquer quiconque, mais c’est d’abord dans cette tenue que je vis habituellement à la maison, et le seul vêtement dont je dispose à ce moment c’est le maillot symbolique que je tiens à la main, et dans lequel je me suis promenée une partie de l’après-midi. Gabriel a d’ailleurs pu se rincer l’œil à loisir, et me pointer nue devant lui ne devrait pas lui faire découvrir beaucoup plus que quelques centimètres de mon intimité. Et si je veux me couvrir plus pudiquement, il me faut me rendre à l’étage, dans ma chambre, et pour cela passer devant la chambre d’amis. Donc, dans la plus simple expression de ma féminité, j’entrouvre discrètement la porte de cette pièce où Gabriel se repose. Elle est plongée dans une pénombre qui ne me permet que d’entrevoir une forme allongée sous la couverture. Il a l’air paisible et son sommeil profond. « Pas de problème, il dort profondément, je crois qu’il ne se réveillera pas avant demain matin. J’expliquerai alors à Pascal les raisons de sa présence ici. » me dis-je in petto. C’est donc rassurée sur les éventuels débordements que j’aurais dû affronter, et frustrée aussi de ne pas avoir pu vérifier la sincérité de mon prétendant, que je rentre dans ma chambre. Et c’est à ce moment que mon portable sonne. Le timbre est discret, j’espère que cela ne va pas réveiller mon hôte. Ce doit être Pascal. Chaque soir, lorsqu’il est absent, c’est à peu près à cette heure qu’il m’appelle. Après les échanges de mamours habituels, il entre dans l’objet de sa ...
... communication : — Ma chérie, je ne vais pas rentrer cette nuit comme je l’avais prévu.— Que se passe-t-il ? Tu te sens fatigué ?— Oui, peut-être un peu ! Mais ce n’est pas la raison. Nous n’avons pas encore fini d’explorer l’ordre du jour. Il y a un débat imprévu afin de régler des différends entre les partenaires, et nous ne pouvons nous séparer sans une solution qui convienne à tous.— Donc, quand comptes-tu rentrer ?— Au plus tard samedi soir, et j’aurai fait un détour pour déposer une collègue qui devait rentrer en chemin de fer, mais elle n’a pas trouvé de place pour samedi.— Et cette collègue est, je le suppose, jolie et disponible ?— Tiens, comment l’as-tu deviné ?— Je te connais suffisamment pour savoir que comme on ne s’est pas parlé depuis deux jours, tu devais avoir trouvé une compensation à ta supposée infortune.— Mon amour, tu deviens un peu sarcastique ! Dis-moi, qu’as-tu fait ces derniers jours, puisque tu ne répondais pas à mes appels ? Ne te livrais-tu pas à des plaisirs coupables ? Est-ce que je t’en fais le reproche, quoique je prendrais grand plaisir à être informé de tes idylles et que ton silence me frustre !— Je plaisantais mon amour, et comme tu l’as compris cette semaine je me suis abandonnée à des bras étrangers. Deux quinquagénaires, un peu ventripotents et généreux, qui cherchaient bonne fortune dans une boîte de nuit où je cherchais à m’encanailler. Nous avons fait affaire, et j’ai passé trois nuits avec eux.— Généreux, m’as-tu dis !— Oui, très ...