1. Solange, aventure avec mon chef


    Datte: 12/10/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail grosseins, fépilée, Oral pénétratio, fsodo,

    ... généreux même, et je vais pouvoir m’offrir quelques colifichets, vêtements ou plaisirs avec ce qu’ils m’ont donné.— Ne viendrais-tu pas de franchir une nouvelle étape dans la luxure avec ce que tu viens de me dire ?— Mon amour, ne sois pas naïf, tu ne crois tout de même pas que ce soit vraiment la première fois. Mais cette fois, ils ont vraiment été très généreux. Mais nous en parlerons plus tard.— Dis-moi, vous ne deviez pas aussi passer l’après-midi à festoyer avec tes collègues, cela s’est bien passé ?— Oui, ils ont tous repartis. En fait, non, pas tous, Gabriel est resté.— Pourquoi ?— Je te sens inquiet. Il était fatigué, il ne voulait pas franchir le massif montagneux et les quarante kilomètres entre chez nous et son domicile dans l’état où il était. Il avait abusé de la boisson. Pour le moment, il dort dans la chambre d’amis. Il repartira dès qu’il aura récupéré.— Il repartira, peut-être, peut-être pas ! Tu sais bien qu’il nourrit une frustration de nous savoir ensemble, il suffit de voir comment il te regarde, comment il te déshabille du regard pour savoir combien il te convoite.— Eh bien que dois-je faire s’il se manifeste ? D’autant que cette fois, il n’aura pas à me déshabiller, ni des yeux, ni des mains, je suis déjà à poil.— Et où es-tu ?— Dans notre chambre ! Je me préparais à prendre une douche avant de me coucher. Mais tu n’as pas répondu. Que dois-je faire ?— Mon amour, je sais déjà ce que tu manigances. Eh bien, s’il se montre entreprenant, gère-le comme tu ...
    ... le souhaites. Et s’il se montrait indifférent, ce que je n’imagine même pas, je te fais confiance pour réveiller ses sens. Dans tous les cas, passez une nuit agréable, puisque je ne viendrai pas perturber vos galipettes !— Merci mon chéri. J’étais certaine de ta compréhension. Et toi, prends bien du plaisir avec ta collègue. Nous ferons le point demain. Et sur ces propos nous nous séparons. La tête pleine d’interrogations, je pénètre dans la salle de bain et m’installe dans la cabine de douche. C’est avec un plaisir intense que je laisse couler sur ma peau l’eau chaude sous laquelle je me masse le corps d’une huile parfumée. Je m’alanguis sous la chaleur qui me pénètre, lorsque… Je n’ai pas entendu le bruit de la porte de la cabine de douche à laquelle je tournais le dos. Et maintenant, il y a ces deux mains qui m’ont attrapée la poitrine, qui m’attirent contre le torse velu d’un homme qui me murmure à l’oreille : — Eh bien, ma salope ! Depuis le temps que tu me les exhibes sous le nez tes grosses miches, je peux enfin les pétrir tout à mon aise. Là, je n’avais aucun doute, c’était bien un homme, celui qui me palpait sans ménagement ces seins énormes, dont je suis si fière. En effet, j’étais tellement plaquée fortement, mon dos contre sa poitrine, que son sexe raide se glissait entre mes fesses. Si j’avais été une épouse modèle, j’aurais frappé, ou du moins repoussé celui qui se permettait ces privautés. Mais je ne suis pas une épouse modèle. Et puis comme avec Pascal, nous ...
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