Collègues et voyages - Histoires de Sexe

Collègues et voyages

... que… il a pris une autre voie, répond Anne gênée.— Ah ! Je comprends, il t’a enculée. C’est vrai que toi tu as des aptitudes de ce côté-là, Bernard a pu t’y mettre la main. Moi, c’est comme Valériane, je n’ai pas pu. Est-ce que tu as recommencé avec ton mari ?— Il a essayé une fois, mais ça n’a pas marché.— Il faudra ressayer. Et à vous, les piercings, ça vous plaît ?— Oui, surtout celui du capuchon, opine Valériane.— Moi c’est pareil, renchérit Anne.— C’est vrai qu’il donne des sensations. Est-ce que vous vous servez toujours des boules de geishas et des godes ?— Des boules, oui de temps en temps, le plug plus rarement.— Moi c’est pareil.— Je vais vous faire une confidence. Comme je craignais de m’ennuyer un peu, pour que le temps passe plus vite, je me suis mis trois boules dans la chatte avec un cadenas pour les maintenir, déclare Marion. Valériane pouffe : — Moi aussi j’en ai mis, mais sans cadenas. C’est Dona qui me l’a suggéré.— C’est ton mari qui te l’a suggéré ? s’étonne Marion.— Oui.— On dirait qu’il veut t’avoir chaude en rentrant.— Je pense qu’il a des idées coquines pour le retour, il les avait déjà au départ. Je peux te poser une question indiscrète ? demande-t-elle à Marion.— Oui.— Ça n’a pas l’air de te gêner que ton mari aille… euh…— …avec d’autres femmes ? Disons que ça n’est pas ce qui me fait le plus plaisir, mais quand je l’ai épousé, je savais qu’il avait beaucoup de… de potentiel dirais-je, et que je ne pourrais entièrement assurer. Le sachant, il faut ...

... bien assumer. Elle se garde bien de donner les tenants et aboutissants de cette situation, ni que son chéri a engrossé plusieurs centaines de femmes et encore moins que c’est elle qui lui a conseillé de s’occuper d’elles. — Ça, pour avoir du potentiel, comme tu dis, il en a ! Je ne croyais pas que ce soit possible qu’un homme puisse tenir autant. En plus, quand on est avec lui, on est comme électrisée, enflammée, comme s’il nous communiquait de son énergie. Ça ne vous fait pas cette impression ? interroge Anne.— Oui, tant qu’il est là, on ne sent pas la fatigue, on ne pense qu’à baiser, mais après on s’effondre, alors que lui à l’air frais comme un gardon, enchérit Valériane— C’est vrai, confirme Marion. À mon retour de voyage, on a fait ça pendant deux jours, après j’ai dormi pendant une quinzaine d’heures, alors que lui, il est a continué à vaquer comme si de rien n’était. Et encore, au réveil j’avais l’impression d’être passée à la moulinette.— Waouh ! Pendant deux jours, eh bien moi, je n’ai eu droit qu’à une nuit et j’étais claquée. Alors deux jours…— Deux jours sans interruption ?— Quasiment ; on a seulement été au restaurant le samedi soir, mais j’avais des boules et un plug et on a baisé dans les toilettes. Valériane entraîne alors ces dames dans son bureau qui est à deux pas. Elle ouvre un tiroir et elle en sort une petite boîte qui en contient trois. Elle les tend à Anne : — Tiens, puisqu’on parle de boules ! Ce serait bête que tu sois la seule à ne pas en avoir.— Il ...