1. Collègues et voyages


    Datte: 14/10/2020, Catégories: fh, hplusag, rousseurs, couple, extracon, Collègues / Travail hotel, hdomine, noculotte, facial, Oral fgode, fist, pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe,

    ... commence à se faire tard. Ce n’est pas la peine, merci, répond l’intéressée.— Allez ! Il n’est jamais trop tard pour les bons moments. Ne joue pas les pucelles effarouchées, avec nous ce n’est pas la peine. Elle soulève d’autorité la jupe de son amie et baisse son slip. La résistance d’Anne est toute symbolique. Valériane s’agenouille, fait poser le pied d’Anne sur une chaise et enfile les boules de geishas dans le sexe. Cela fini, elle se relève. Anne va pour remettre sa culotte, mais Marion intervient : — Attends ! Tout à l’heure j’ai trouvé de jolis cadenas, de vrais bijoux. Elle sort un de son sac à main, s’agenouille à son tour et pose l’objet sur les anneaux des piercings et prend le slip des mains d’Anne et disant : — Cet accessoire est bien inutile maintenant. Marion soulève sa jupe et montre qu’elle s’en est dispensée, et précise : — Avec un cadenas, c’est plus agréable de ne pas avoir de slip. Quand on bouge, on le sent qui vient tapoter ou frotter, alors qu’avec une culotte ça écrase plutôt. Elle se tourne vers Valériane : — J’en ai aussi un pour toi. Sans attendre, comme Valériane l’avait fait pour Anne, elle soulève la jupe, baisse le slip, qu’elle conserve aussi, et pose le cadenas. — Et voilà, sous la jupe on est toutes pareilles. Allez, on retourne, avant que notre disparition ne soit trop remarquée. Il y en a au moins un qui l’a remarquée, c’est Bernard. Déjà de voir Marion aborder la directrice et sa secrétaire l’avait surpris. Voir ces dames s’éclipser ...
    ... l’avait intrigué. Quand elles reviennent bras dessus bras dessous, en gloussant, c’est presque l’inquiétude qui domine, surtout qu’elles se dirigent vers lui. Arrivées à proximité : — Tu sais que tu as une influence délétère, lance Marion— Moi ? … s’étonne-t-il.— Oui, toutes les trois on s’est mis des boules de geishas dans la chatte et un cadenas sur les piercings. C’est bien toi qui as eu l’idée des piercings.— Doucement. Je plaide non coupable. Peut-être est-ce moi qui l’ai évoqué en premier, mais je ne vous ai pas traînées de force. Et pour ce soir, je n’y suis pour rien. Valériane intervient : — Vilain suborneur. Tu as profité de notre faiblesse. Après avoir grimpé aux rideaux pendant une nuit, on était dans un état second quand on est entré dans la boutique. Je ne dis pas que je n’aurais pas fait de piercings, mais j’aurais évité de les faire avec la chatte congestionnée, des boules de geishas, un plug dans le cul et les fesses rouges. Maintenant je n’ose même plus passer dans la rue de la boutique. Je crois que je mourrais de honte si je croisais les tatoueurs. Ils ont vraiment dû se dire qu’Anne et moi on avait le feu au cul et qu’on était des sacrées salopes, car je me rappelle très bien qu’en plus Anne et moi on avait parlé de nos maris et qu’il était évident que ce n’est pas avec eux qu’on avait passé la nuit à baiser.— On avait parlé de nos maris ? s’effare Anne.— Tu ne t’en rappelais pas ?— Non. Ce disant, elle rougit. — Allez, c’est du passé. Pensez plutôt comme moi ...
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