Collègues et voyages - Histoires de Sexe

Collègues et voyages

... étaient encore ensemble, je venais d’acheter les cadenas. Bernard ne peut s’empêcher de rire : — Eh bien, te voilà à égalité avec mes chères collègues. Il va te falloir attendre lundi pour être débarrassée de ta breloque. Tu vas devoir être patiente, ma puce. Il ne se prive pas de taquiner sa femme en parlant d’arroseuse arrosée, d’être punie par où l’on a pêché, de justice immanente… Elle l’interrompt : — Rassure-toi, ce n’est pas grave mon chéri. Ce n’est pas ce petit contretemps qui va me démoraliser. Allez, à la salle de bain. Sitôt sortie de la douche, elle s’empare du sexe de son mari pour l’entraîner vers la chambre : — Si la voie principale n’est pas accessible, il y en a d’autres. Et elle le prouve. Elle suce Bernard, pour le plaisir, plutôt que pour le mettre en forme, car la force que lui donne la consécration de Cernunnos et Rosmerta ne se limite pas mise en œuvre de bébés, mais s’étend à toute son activité génésique, ce que Marion apprécie fort. Ce dernier lui fait de petites gâteries linguales que gêne à peine le cadenas. Elle se met ensuite à quatre pattes en tendant et écartant à deux mains ses fesses, montrant éloquemment le chemin à suivre. Bernard ne se fait prier et sodomise sa chère et tendre avec une belle ardeur, égale à celle dont elle fait montre. Quand deux heures plus tard la joute cesse, elle se blottit contre Bernard : — Je ne devrais pas être la seule à suivre ce raisonnement.— Quel raisonnement ?— Ben que si ça ne peut pas entrer ...

... par-devant, ça peut par-derrière. Je pense que tes chères collègues ont dû arriver à la même conclusion. Je suis prête à parier qu’elles aussi vont se faire enculer ce week-end. Et elles ne seront pas du genre à se plaindre de se faire culbuter.— Parce que toi tu t’en plains ? Je ne m’en serais pas douté.— Et tu aurais raison, mon nounours, je ne m’en plains pas. Moi aussi j’aime et même beaucoup. Surtout depuis qu’un Élu des Dieux partage ma vie. Je me rends compte maintenant qu’avant j’étais plutôt coincée. Je n’avais jamais accepté de me faire enculer. On m’aurait prédit qu’un jour je le ferais, que j’y prendrais plaisir et que j’en redemanderais, j’aurais regardé l’individu comme un rustre n’ayant pas toute sa tête. Quant aux piercings, pour moi ce n’était qu’un mot, presque une abstraction et j’en ai fait poser sans même que tu me le suggères.— Parce que je t’ai parlé de ceux de mes collègues.— Je vais t’avouer une chose, j’y pensais avant cela et quand tu me l’as raconté, ma décision était déjà quasi prise. J’attendais le voyage pour le faire.— Qu’est-ce qui t’en a donné l’idée ?— J’ai lu un article dans une revue et peu après je ne sais pas comment le sujet est venu sur le tapis avec ma gynéco. Elle m’a dit qu’elle avait eu plusieurs patientes qui en avaient et nous en avons parlé. J’étais intriguée et je me suis renseignée sur Internet. Ça m’a tentée et quand tu en as parlé, je n’ai plus eu de doute. Je ne le regrette pas. Les époux discutent encore quelque temps avant de ...