1. Coincé (1)


    Datte: 15/10/2017, Catégories: Gay

    Coincé ! Tout a commencé il y a quelques mois. Je m’appelle Bernard et je suis un homme marié, de 42 ans, pas sportif pour un sou, mais je garde une certaine forme malgré un léger embonpoint. Je travaille dans un entrepôt de marchandises depuis des années, où je dois placer des marchandises parfois très lourdes sur des palettes. C’est ce qui explique que mes plus proches collègues ne sont que des hommes. L’un d’eux, Stéphane, très sympathique et avec qui je m’entends bien, est à l’origine de tout ce qui m’est arrivé par la suite. Chaque année, la boîte organisait une réception, généralement aux alentours de mai. C’était l’occasion rêvée d’obtenir une promotion pour celles qui étaient prêtes à donner de leur personne (bref : coucher avec le chef) ou de faire le faux-cul pour bien se faire voir de la direction présente. Bien que ce soit un travail pénible, j’en étais satisfait, et je ne voulais pas changer de poste. Ce genre de réception était donc pour moi une corvée, surtout qu’il fallait faire bonne figure et rester assez tard. Heureusement, quelques collègues me permettaient de moins m’ennuyer, dont Stéphane. Il avait un humour ravageur, ce qui lui permettait d’être très apprécié par à peu près tout le monde. L’alcool coulait à flot ; je ne me rendais pas compte de la quantité ingurgitée. C’est quand j’ai tenté de me lever pour aller me soulager que des pertes d’équilibre se sont fait sentir. Impossible donc de conduire dans cet état ! Tout occupé devant un urinoir, je ne ...
    ... me suis pas tout de suite rendu compte que quelqu’un était venu s’installer à mes côtés. — T’as bien bu d’après ce que je vois ! Stéphane, rigolard, avait vu la quantité que j’avais à évacuer. — Tu sais ce que c’est, hein… — Ouep ! Il avait sorti saqueue, longue et poilue, à côté de la mienne. Un léger tarissement dans mon jet d’urine commençait à se faire sentir, conséquence d’un raidissement soudain. Que m’arrivait-il ? Je regardai droit devant moi, histoire de recentrer mes pensées et de revenir vite à ma place. — Tu comptes faire comment pour le retour ? Vu ce que t’as bu. — Bonne question. Je n’ai pas encore réfléchi. Je ne vais pas prendre le volant en tout cas. — Tu veux pieuter à la maison ? Y a assez de place sur le canapé. Tu n’as qu’à prévenir Sylviane (ma femme, à qui j’étais marié depuis 12 ans et avec qui j’ai eu 2 enfants), elle ne dira rien. -Ok, va pour ça. De toute façon, c’est pas ce soir que j’allais la troncher… Il me regarda, goguenard : — Satanés Anglais… — Tu as tout compris ! Bon, ça y était. Je secouai le gland, vidant les dernières gouttes. Je détestais cette sensation de mouillé sur lesslips : ça avait tendance à m’irriter le bout. Je refermai ma braguette et revins à ma place. Une heure plus tard, et quelques verres de plus, la plupart des invités étaient partis. Une pouffiasse de l’accueil avait serré le DRH et était sûrement occupée à lui dégorger le poireau, avec la bouche ou avec le reste. On la savait coutumière du fait et cela faisait près ...
«123»