1. Coincé (1)


    Datte: 15/10/2017, Catégories: Gay

    ... d’une heure que personne ne les avait vus. Stéphane vint vers moi. — Bon, t’es prêt ? Tu prends ta dulcinée avec toi ou tu la laisses au proprio ?, demanda-t-il en désignant la bouteille de vin entamée juste devant moi. — Un dernier verre, allez… Je me resservis, et hop ! cul sec ! — C’était payé par la boîte, alors, autant en profiter ! Je n’étais pas très joli, moi qui buvais rarement. Je m’en foutais : vendredi, tout est permis ! C’est le lendemain qui allait être difficile ! Bref, me voilà qui monte à côté de mon collègue dans la voiture. La mienne resterait sur le parking jusqu’au lendemain. — T’as prévenu Sylviane ? Merde, je l’avais bien oubliée. Je tente de l’appeler, pas de réponse. De fait, il était près d’une heure du matin. Elle avait dû aller dormir. Tant pis : je laisse un message, disant que j’avais trop bu et que je dormais chez un collègue. — Ok, c’est fait. — Nickel ! Il n’habitait pas loin, peut-être à un quart d’heure du restaurant. On fit le trajet en papotant comme deux vieilles pies, parlant de tout et de rien, mais surtout des frotte-manches observés ce soir. Arrivés devant chez lui, j’ouvris la porte et je m’affalai dehors en voulant sortir. Sacré alcool… Quand tu nous tiens… Bon, j’avais de la boue sur mes vêtements. Bravo Bernard ! Stéphane vint m’aider à me redresser. — Je sais bien que tu n’as pas pu faire de câlin ce soir, mais c’est pas une raison pour en faire à mon trottoir… — Ben il avait l’air sympa, alors tu vois ! rjhrnnmk — Oui, je vois ...
    ... bien. On rit tous les deux. On rentra à l’intérieur de chez lui. Assez coquet, mais je n’étais pas en état de juger objectivement en ce moment. — Faut que tu te déshabilles, je ne veux pas que tu en mettes partout sur le canapé. Je vais faire une machine, donne. Il m’aida à le faire. Je ne pouvais pas m’asseoir, et j’avais des pertes d’équilibre. Je riais en m’accrochant à lui. En m’enlevant mon t-shirt, il me pinça les tétons. — Sacrée paire que tu as là ! — T’es con ! Ce simple contact suffit à me fairebander, j’étais très sensible de cet endroit. Dans la pénombre, ça ne se voyait pas encore, mais le pantalon devait être enlevé… — Bon, le reste maintenant ! — Si tu veux… J’étais face à lui, mains sur ses épaules, pendant qu’il était agenouillé devant moi, retirant d’abord ma ceinture. Il ne pouvait plus ignorer mon érection maintenant. — Wahou, c’est quoi ça ? Il empoignait ma queue bien dure à travers le tissu. J’étais gêné, mais pas tant que ça. — Effet secondaire, ne fais pas attention. Il ne répondit rien, et retira mon pantalon. Il avait désormais une vue imprenable sur mon slip tendu. Sans mot dire, il l’abaissa subitement, et engouffra ma queue dans sa bouche. — Eh Steph, tu es dingue ! Sérieux, arrête !… Oh merde… Il ne s’arrêtait pas, la prenait toute entière dans sa bouche, avant de se retirer jusqu’au gland et suçotant le méat, puis de la reprendre en entier. Je n’arrivais pas à le repousser. Il s’accrochait à ma queue, telle une ventouse, s’aidant de ses mains ...