vacance avec mon maître (8) - Histoires de Sexe

vacance avec mon maître (8)

Elle vient près de mon maître, lui passe la main sur la bosse du pantalon et dit : Je reviendrais tout à l’heure, j’espère que je vous trouverai toujours aussi en forme Elle fait demi tour et me fait signe de venir. Je me lève et la suit dans le bungalow — Montres-moi tes fringues, salope J’ouvre le placard. Elle fouille, sors les fringues en les jetant par terre et tombe en arrêt sur une jupe vichy blanche à petits points noirs. Pour le haut , elle prend un débardeur large avec de grandes échancrures. — enfile ça. Je suppose que tu n’as pas de sous vêtement — Non A cette réponse, elle fait un pas rapide vers moi, prends mes tétons avec ses ongles et les plantes dedans en tournant — Ecoutes bien, salope, ce que je vais te dire. Tu dois m’appeler maitresse, c’est la deuxième fois que je te reprends. Je dirais à ton maître ton manque de respect. Est-ce bien compris. Elle serre encore plus fort. — Oui, maitresse, j’ai bien compris Des larmes coulent sur mes joues et j’ai très mal aux tétons. Je viens de comprendre que c’est une vraie maitresse et qu’elle ne laisse rien passer. C’est mon maître au féminin. — Habilles-toi et vite. Tu mettras des tennis en toile. Je me dépêche et m’habille. Elle regarde. — Allons-y, on va passer par le long de la rivière Je la suis. Nous prenons le petit sentier. Nous sommes à l’ombre, l’eau de la rivière coule avec un petit bruit. Il y a régulièrement des bancs installés le long du sentier. Marion décide de s’asseoir sur un banc. Elle me fait ...

... asseoir par terre juste sur un nid de fourmis rouges, avec interdiction de salir ma jupe. Je relève ma jupe pour mette mon cul directement sur la terre. Aussitôt les fourmis rouges viennent me mordre. Je ne bouge pas, je ne veux pas déplaire à Marion. Marion m’interroge, elle veut connaître ma vie. Après m’avoir posée quelques questions assez banales, elle demande : -As-tu des enfants ? — Oui, deux filles, maitresse. — Ainsi, tu as été pleine deux fois. — Oui maitresse — et la mise bas c’est bien passé — Oui maitresse Pleine, mise bas, on parle comme cela pour une vache ou une chienne et Marion emploie ces termes à mon encontre. Malgré moi, je sens une excitation et une envie de me caresser. — Elles ont quel âge ? Et sont elles comme toi ? — Céline a 27 ans, elle est soumise. Chloé a 24 ans et elle est dominatrice. — Hummm, j’aimerai bien les connaître. Je suis sure que nous deviendrions de grandes amies. Avisant des orties, elle me regarde souriante. — va me chercher un bouquet d’orties, donnes-les-moi et arranges toi pour que je ne me pique pas les doigts. Je me lève, m’approche des orties, réfléchis. Il n’y a qu’une solution pour que je puisse donner les orties sans qu’elle se pique. J’enlève le débardeur et m’en sers comme gant. Une fois que j’ai cueilli un beau bouquet je m’en retourne vers Marion et lui donne. Je me rassois au même endroit. — bien, on va voir si tu apprécies. Elle passe le bouquet sur mon torse. Je frissonne, je sens les orties, de petites cloques font ...