vacance avec mon maître (8) - Histoires de Sexe

vacance avec mon maître (8)

... leurs apparitions. Marion continue, passe dans le dos. Enfin, elle jette les orties et me donne le débardeur. Je l’enfile et nous partons vers le village. Je dois marcher derrière elle, comme une bonne chienne selon ses dires. Ainsi, je peux voir sa démarche altière. Elle avance sur d’elle. Nous allons dans un bar du village. Il n’y a personne. Marion connaît le patron. Elle s’assoit dans un coin reculé, je dois m’installer à côtè d’elle. Un couple arrive, ils ont le même âge que Marion. Ils s’embrassent. Alors qu’ils veulent me dire bonjour, Marion les arrête en disant que je ne suis rien et qu’il ne faut pas s’occuper de moi. Je comprends que ce sont des amis d’enfance et qu’ils se retrouvent à chaque fois qu’ils sont en vacances chez leurs grands-parents. Laure, c’est le nom de la jeune fille, dit : — Au fait, bon anniversaire, tu as dix-huit ans. Nous sommes tous adultes. — Bon anniversaire Marion, dit Kevin — Je croyais que vous aviez oublié. Vous avez mis beaucoup trop de temps à me le souhaiter. Les deux jeunes ne disent rien et baissent la tête. Je sens la colère de Marion. — Moi qui avais amené mon cadeau d’anniversaire, je vais le garder pour moi et vous n’aurez pas le droit d’y toucher, bande de larves. Regardez vous? Toi, Kevin, avec ta petite bite et toi, Laure qui est plate comme une planche à repasser. Tiens, regardez ce que c’est qu’une salope. Elle prend le débardeur et le soulève. Je me retrouve la poitrine à l’air et le regard des deux jeunes sur moi. Ils ...

... sont ébahis. — Vous voyez, son maître me la prêter pour l’après-midi. C’est une chienne. Elle sait où est sa place. T’as vu, Laure, ça c’est de la mamelle, en plus annelée — Oui, Marion, j’ai vu, répond Laure d’une toute petite voie Elle rabaisse le débardeur et lève ma jupe. Mon sexe lisse et annelé apparaît. — Et ça, qu’en penses-tu, Laure? Toi qui ne veux pas te faire épilée. — Je n’ai jamais dit que je ne voulais pas me faire épilée, Marion — Ha bon, et tu es épilée ? — Non, mais, si tu veux, je peux le faire — Non, pétasse, ce que je veux, c’est que tu le fasses faire, en institut. Ainsi, je suis sure qu’il ne restera aucun poil — Je le ferais, Marion Marion a un petit sourire satisfait. Kevin n’a rien dit pendant tout cet échange, il n’en mène pas large, cela se voit. — Et toi, Kevin, tu as trouvé l’appart pour cet automne? — Pas encore, Marion. Je cherche — Tu cherches, j’espère bien, petite bite, que tu cherches. On a bien décidé d’être en coloc, n’est ce pas ? — Oui, c’est bien ce que nous voulons — Alors, petite bite, il va falloir te bouger le cul sinon, je te promets que je te le fais devenir cramoisi — Je te promets de trouver un appart rapidement — Bien. Alors, j’attends de vos nouvelles. Demain serait très bien mais si c’est avant, ce serait encore mieux. Elle se lève et me fait signe de la suivre. Le couple ne dit rien et nous regarde partir. Nous rentrons par le petit chemin. En cours de route, elle trouve une branche flexible. Je frissonne, je sais ce qu’elle ...