1. Antoine et Antoinette, jumeaux chauds


    Datte: 17/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Antoine et Antoinette naquirent un certain jour de 1980 par une forte chaleur. La sage femme prétendit après l’accouchement que « ces jumeaux auraient le sang chaud », se référant à une vague théorie des climats. Elle ne croyait pas si bien dire. Les jumeaux, c’est un sacré boulot pour les parents. Blonds et toniques, ils bougeaient sans arrêt, multipliant les bêtises. La mère passait son temps à faire de la discipline et leur scolarité se révéla mouvementée. Le père leur avait offert un chien et un chat et les jumeaux devinrent de vrais amoureux des animaux. Si bien qu’à la fin de leurs études, qu’ils avaient suivies dans la même classe de bout en bout, ils se présentèrent au concours de vétérinaire. Mais la barre se révéla un peu haute car ils aimaient davantage les plaisirs de la vie que les études. Finalement, ils décidèrent de se réorienter vers la pharmacie, plus accessible. Elle leur permettait à la fois de rester ensemble car ils étaient inséparables malgré leur sexe différent, et de satisfaire leur goût pour la condition animale. Ils poussèrent la gémellité jusqu’à redoubler la même année. Mais à 26 ans, ils étaient pharmaciens. Ils avaient alors atteint leur maturité physique. Tous deux blonds aux yeux bleus, ils se différenciaient par la taille, le garçon atteignant les 180 cm et la fille dix centimètres de moins. Antoinette était remarquable par son visage de Madone encadré de cheveux mi longs qui lui donnait l’air angélique. Antoine n’était pas très athlétique ...
    ... mais élancé et sans un pouce de graisse avec des mains fines qui séduisaient les femmes. Du côté de leur sexualité, sujet qui nous intéresse ici en priorité, Antoine et Antoinette s’étaient également suivis de près. Ils avaient été dépucelés à 20 ans, à un mois d’intervalle. Le garçon le premier par une amie de leur mère, une horticultrice aux cuisses de lanceuse de disque qui l’avait employé pour les vacances avec sa soeur. Elle avait remarqué qu’il lorgnait son cul et ses nichons, qu’elle avait fort développés, ce qui la flatta de la part de ce jeune gars aux beaux yeux clairs et au corps élancé, le genre qui ne lui courait pas après. Après quelques travaux d’approche, qu’Antoine faisait semblant de ne pas comprendre, mais qu’elle renouvela avec insistance, l’horticultrice prit les affaires en mains. Ou plutôt, elle en mit une sur sa braguette un jour qu’il mettait des fleurs en pot dans une pièce isolée. La patronne s’étant assuré de sa tranquillité en verrouillant la porte, elle lui ouvrit la braguette, le suça, l’invita sans manière à se positionner entre ses cuisses et s’enfoncer en elle, entre trois pots de fleur. Antoine ne dura pas longtemps mais arracha un petit jappement de plaisir à l’horticultrice, qui avait perdu l’habitude des membres virils longs et durs. L’essentiel était réalisé : Antoine n’était plus puceau. Pour Antoinette, ce fut plus compliqué. Elle fréquentait une espèce de godelureau qui se voulait poète et lisait Appolinaire. Sachant son frère dépucelé ...
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