1. Souvenirs érotiques et cochons d'un érotomane (1)


    Datte: 15/10/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Petit prologue Je vis le jour une nuit de février 1948 dans le modeste hôtel de montagne dont mes parents étaient propriétaires. À cette époque et dans cette région œuvrait encore la sage-femme, une clinique étant un luxe distant de 60 kilomètres, pratiquement inaccessible en hiver. Un hôtel ! Est-il endroit plus propice pour être entouré de femmes à longueur de journée ? Les clientes et les employées de l‘hôtel, les amies et connaissances de mes parents, mes tantes et leurs amies. Dames d‘âge mûr aux parfums capiteux, qui me serraient contre leur opulente poitrine en me faisant la bise. Jeunes femmes qui sentaient bon, qui taquinaient le “petit monsieur“ - j‘étais tout de même le fils du patron ! - en lui disant qu‘il était beau gosse et le faisaient rougir. Toutes ces créatures alimentaient mes fantasmes érotiques et mes masturbations de puceau timide. Les "plaisirs de la chair", les "jeux interdits" comme on les appelait à l’époque, je les découvrais par ouï-dire, par personne interposée, lorsqu’un couple occupant la chambre attenante à la mienne faisait l‘amour. Étant affligé d’une timidité que je considérais comme étant incurable, j’avais largement dépassé ma dix-neuvième année lorsque je les connus enfin, ces fameux "plaisirs " ! Tante Cécile ! Sa culotte ! Mon fétichisme ! La grande villa sur les hauteurs de Nice où nous passions, mes cousins et cousinent et moi les vacances d’été ! Tante Cécile fut la seconde épouse de mon oncle Jean. Et très peu de temps après leur ...
    ... mariage, les gens se mirent à jaser. Et dans la famille, on chuchotait qu’elle avait le feu au cul, qu’elle ne pouvait pas rester plus de cinq minutes près d‘un homme sans lui grimper dessus, qu’elle changeait d’amant comme de culotte. Peu nous importait. Tante Cécile nous gavant de sucreries, oncle Jean passant en coup de vent entre deux voyages d’affaires, les bras chargés de cadeaux ; ces mois de soleil et de liberté me faisaient oublier les neuf mois de froid, de grisaille et de punitions de l’internat. Leur union dura deux ans. Oncle Jean se tua sur la Grande Corniche au volant de sa Bugatti, laissant à sa femme une belle fortune et la villa sur la Côte. C’est ainsi que, durant les années qui suivirent tante Cécile nous présentait chaque été, selon l‘âge du monsieur, un nouvel “oncle Paul“ ou un nouveau “tonton Albert“. Cet été-là, l’été de ma dix-neuvième année, tout commença le jour où je surpris tante Cécile et son amant accouplés comme des bêtes et se termina le lendemain par une divine branlette. Pour je ne sais plus quelle raison j‘étais rentré ce jour-là plus tôt que d‘habitude de la plage. En traversant le vestibule, j‘entendis des bruits venant de la cuisine, puis la voix de ma tante : "Non… Alors vite… Le garçon… Il pourrait…! ". Par le jardin, je me glissai sous la fenêtre de la cuisine. Courbée en avant, les seins écrasés sur une table, sa culotte baissée sur ses cuisses largement écartées, ses fesses offertes, elle se faisait prendre par le livreur qui nous ...
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