1. Souvenirs érotiques et cochons d'un érotomane (1)


    Datte: 15/10/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... apportait chaque semaine ses fruits et légumes. Les couilles de l‘homme balançaient, tapaient sa chatte et elle poussait des plaintes de femelle prise. Parfois, il se retirait et sa queue tendue, luisante, balançait comme le sexe du mâle devant le sexe de la femelle. Puis il la reprenait, la besognait encore et encore et elle couinait comme un petit animal. Le mâle gicla en râlant, couché sur le dos de sa femelle et ils restèrent ainsi écroulés. Il se retira, à genoux derrière elle, il lécha, nettoya la chatte de tante Cécile qui se reculotta et il se rebraguetta. Pour ma part, j’avais éjaculé dans mon slip sans même me toucher… Le lendemain. Jour du "retour en taule". C’est-à-dire retour à l’internat pour y terminer ma dernière année. Comme tous les matins, je me masturbais devant le miroir de la salle de bain. J’aimais me voir jouir et me regarder gicler décuplait mon plaisir... Et ce matin fatidique ayant oublié de fermer la porte à clé, tante Cécile me prit sur le fait. Elle ne s’en offusqua pas, bien au contraire : — Voyez-moi ce petit cochon ! Mais je vais te montrer quelque chose de bien meilleur. Elle passa ses mains sous sa jupe, fit glisser sa culotte et me la fourra sous le nez : — Elle sent bon. Je la porte depuis ce matin. Elle se colla contre mon dos, drapa sa culotte autour de ma queue et de mes couilles, et commença une lente masturbation. — C’est bon ? C’est meilleur que de le faire tout seul, non ? Je sentais ses tétons frotter contre mon dos, son ...
    ... bas-ventre bouger contre mes fesses. Je nous voyais dans la glace et par le truchement du miroir elle me regardait dans les yeux en m’encourageant : — Regarde-toi. Tu vas bien juter dans ma culotte. Elle emprisonna ma jambe entre ses cuisses, je sentis sa main se glisser entre mes fesses, me peloter les couilles. C’était divin ! Je m’entendais gémir, et quand son doigt pénétra mon trou du cul, mes gémissements se transformèrent en râles et je lâchai tout mon jus à grandes giclées. Tout le temps que dura mon orgasme, elle garda son doigt dans mon cul et ma bite bien serrée dans sa culotte, me chuintant à l’oreille : — Oui, comme ça, mon petit vicieux… Gicle bien tout ton jus de garçon dans la culotte de ta tante… Elle remit sa culotte et resta un moment immobile, s’appuyant au lavabo. Elle avait le feu aux joues, je voyais son derrière bouger et elle frottait ses cuisses l’une contre l’autre. Elle se relâcha enfin avec un long soupir, me fit la bise. — Mon petit cochon, je crois que je vais te faire connaître un tas de bonnes choses… Elle tint parole. Elle se chargea de mon "éducation sentimentale", et je découvris la vraie nature de tante Cécile : une femme aimant la bite, qui en avait besoin. Une femelle à qui il fallait des mâles, beaucoup, le plus souvent possible. Bref, elle était cochonne, vicieuse, perverse, obscène. Je devins son "petit cochon", puis son "bouc" et son amant et elle fut ma maitresse pendant deux ans. Dès lors, toutes mes amantes ou maitresses devront me laisser ...