1. Théâtre pour adultes (3)


    Datte: 17/10/2020, Catégories: Gay

    ... j’adore ça. On se prend par les hanches, nos lèvres se soudent, et on se roule une chaude pelle. Je sens son organe envahir ma bouche, et la remplir: une longue et grosse langue, bien musclée, sans doute suite à toutes les pipes et léchages qu’il fait. Après s’être bien bouffé la poire, il m’invite à m’allonger sur le lit. Il vient à quatre pattes entre mes jambes et me suce à nouveau. Il me regarde dans les yeux: — Insulte moi, je suis ta salope, ta pute. Traite moi comme la dernière des trainées. J’adore les grossièretés, obscénités, injures, et je lui balance des immondices. J’invente les pires insultes, et qui le ravissent. Il gémit de plaisir, à sucer mon chibre, à entendre mes saloperies, et il en redemande. Il me pompe depuis un petit moment, mais a envie de passer à autre chose: — Elle est belle ta queue, elle doit faire du bien dans le cul. Baise moi. — Tout ce que tu veux ma salope, mets toi en place. Il se lève, prend un tube de gel dans son armoire, et s’en passe dans la raie. Il revient sur le lit, au bord, à quatre pattes, bien placé pour qu’on puisse se reluquer dans les glaces. Je suis derrière lui, et je l’embroche d’un seul coup. Ca rentre comme dans du beurre; il en dû en prendre cet enculé! Je le lime copieusement, et lui sers à nouveau mes pires insultes. On se regarde copuler dans les miroirs, et ça augmente nos désirs. On décide de changer de position. Il s’allonge sur le dos, relève ses jambes, et je viens dessus lui pour le prendre de face. Je ...
    ... m’enfonce jusqu’à la garde, je le besogne à nouveau, je l’avilis de mes mots rabaissants, les yeux dans les yeux, on se roule des pelles énormes. Je ne peux plus me retenir, je jouis, inonde ses reins de ma semence. Je me retire, m’allonge, et il me nettoie la queue. En même temps il se torche avec la main pour récupérer mon foutre, il l’étale sur mes couilles, puis me les bouffe. On est dans les bras l’un de l’autre, on se caresse, on se roule des pelles: — Oh putain, ce que tu m’as mis! Il y a longtemps que l’on ne m’avait pas aussi bien aimé. Mais surtout, ces mots que tu m’as dit, personne ne m’a jamais parlé comme ça. Tu es un sacré salaud, un beau vicieux! — Excuse moi, mais c’est toi qui l’a voulu, alors je me suis lâché. — Mais pas de problème, au contraire, c’était merveilleux. J’aime être humilié quand je me soumets à un homme. — Moi aussi j’aime ça. Quel dommage que tu ne bandes plus, je me serais bien fait casser le cul. — Désolé, j’aurais bien aimé te satisfaire . Mais si tu veux, j’ai un gode ceinture. — Pourquoi pas, ça ne vaut pas une vraie bite bien juteuse, mais c’est mieux que rien. Il fouille dans une armoire, et en ressort une poche avec deux magnifiques sextoys d’un très beau calibre (dans les 40x5 chacun). L’un d’eux est effectivement un gode ceinture. Il m’explique que du temps où il bandait encore, il recevait régulièrement un couple, et que c’était la femme qui s’en servait pour les sodomiser tous les deux, lui et son mari. Mais depuis qu’il est en panne, ...