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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 633)
Datte: 19/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - L'arrivée d'Anne au Château (3/5)- Il est très tard dans la nuit, je suis toujours dans mon cachot et je commence à m’engourdir étant toujours attachée à cette longue chaîne aux gros anneaux métalliques et relié à un épais collier aussi fait de métal. Je médite sur ma condition et commence par regretter cette situation laquelle je me suis mise quasi toute seule. Je me dis « mais qu’est-ce qu’il m’a pris d’accepter cette invitation pour me retrouver ainsi » Quelle folie m’a poussé à venir dans ce château et surtout à me retrouver ainsi enchaînée sans avoir vu Sir Evans. Oui je commence vraiment à regretter de plus en plus d’avoir naïvement cru à tout cela… Heureusement, ce qui va suivre me fera totalement retirer de mon esprit le moindre regret ! Je suis donc sur ce matelas avec mes 3 couvertures, et je serai nue si je n’avais pas ce simple string imposé par le majordome m’ayant obligée à n’avoir que cela comme tenue, il m’a fait déshabiller ici dans ce cachot, juste avant de m’attacher et je me laisser à mes méditations, repartant sans un mot et me laissant seule. J’ai réussi à me réchauffer sous ces couvertures épaisses et je médite encore et encore. Combien de temps que je suis ainsi attachée ? 1 heure ? 2 heures ? Je ne sais pas, je ne sais plus… j’ai l’impression d’avoir perdu toute notion de temps, ...
... je me sens prisonnière, d’avoir été mise au cachot sans jugement sans défense sans procès… Quand tout d’un coup le bruit des 2 gros verrous de l’épaisse porte de chêne et celui des grincements de celle-ci me ramène de mes pensées les plus déprimantes. Je vois alors de nouveau arriver Walter avec un objet à la main que je ne distingue pas encore à cause de la semi obscurité régnante qui me dit sèchement : - Lève-toi, chienne Je m'exécute prestement le voyant alors plus distinctement avec cet objet, mais oui c’est bien un fouet qu’il tient à la main, à ma grande stupeur ! Voire une grande crainte qui monte en moi. Et il le fait claquer ce fouet mais dans le vide à l’instar d’un dresseur de fauves. Il me détache sans un sourire, d’un regard froid et pervers en libérant le gros cadenas retenant ma chaîne à l’anneau scellé au mur puis détachant cette chaîne au collier pour y mettre à la place une laisse de cuir ; Puis il se met à tirer sur cette laisse, ce qui m’oblige à le suivre à son pas, à son rythme telle une chienne dressée suivant son maître dans la rue. Oui c’est bien cela, on me promène telle une bête enchaînée. Et c’est à ce moment là et seulement à ce moment que j’ai ressenti pour la première fois depuis mon arrivée une inexplicable et subite excitation. Je ne peux l’expliquer en effet, je ne sais comment l’exprimer mais de me retrouver ainsi m’a procuré une montée de plaisir intérieur très intense et ayant les mains libres, je me surpris au toucher de constater que je ...