1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 633)


    Datte: 19/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mouillais… oui je trouvais du plaisir à être emmenée comme une chienne… Puis pendant la traversée du long couloir ressemblant plus à un tunnel, je cachais mes seins de mes mains par pudeur même si Walter ne me jetant aucun regard, marchait droit devant me tournant le dos Nous montons alors les escaliers de pierres en colimaçon et arrivons après avoir franchi une autre porte au bois rustique dans ce qui ressemble cette fois à un véritable couloir, tout capitonné de velours rouge. Nos pas feutrés par d’immenses tapis orientaux embellissent encore plus le lieu. Puis nous débouchons dans une salle que l’on pourrait appelée « salle des tortures » tellement il y a des objets des plus divers exposés ci et là sur des établis plutôt volumineux. Une table est flanquée au milieu pour compléter ce lieu aux murs nus blanchis à la chaux faisant ressortir les vieilles pierres. Walter s’arrête net et je lève la tête comme je peux, profitant de l’arrêt du domestique, ce qui me fait comprendre que je me trouve dans le donjon, les murs étant circulaires et la hauteur impressionnante du plafond donne à l’évidence la précision du lieu auquel je me trouve. Paradoxalement et ce, malgré la hauteur de la pièce, une bonne chaleur appréciable m’envahie tout le corps, ce qui me fait dire que la température de la salle est assez élevée . - Couche toi sur cette table, me dit–il d’un ton flegmatique mais assez autoritaire, en me laissant du moue à la laisse afin que je puisse obtempérer. Je m’exécute ...
    ... craintivement mais je l’avoue toujours avec ce sentiment d’excitation ancré en moi et m'allonge donc sur cette table longue. Sur cette table à chaque pied, il y a une chaîne avec des poignées de cuir. Walter me met ces poignées aux chevilles et aux bras et c’est à ces poignées que je suis de suite attachée. Je me retrouve ainsi écartelée et offerte avec ce sentiment d’humiliation, sentiment encore une fois qui me procure une excitation peu commune voire nouvelle en moi. Aucune partie de mon intimité ne pouvant être ainsi cachée, s’il n’y avait pas ce mince string. Walter quitte alors la pièce et me laissant de nouveau seule. Je n’ai pas froid, il faut même chaud dans cette salle où j’aperçois et entends maintenant les craquements de grosses bûches de bois flambant dans l’imposante cheminée située à droite de la porte où je suis entrée, et c’est pour cela que je ne l’avais pas aperçu de suite. Une petite dizaine de minutes s’écoule puis arrive toute une suite d’invités assez bruyants qui me paraissent pour certain éméchés. Les femmes sont déjà à moitié nues, une coupe de champagne à la main. Les hommes tiennent les femmes par le cou tout en titubant légèrement. J’ai vite compris que les invités de Sir Evans avaient bien arrosé le repas et qu’ils avaient envie de s’amuser un peu avec la « chose » que je suis devenue ici ainsi attachée au bon vouloir de ses invités assez excités par les vapeurs d’alcool ! Walter s’approche de nouveau et sans un mot, retire mon string par les cotés et ...