Rencontre de M - Histoires de Sexe

Rencontre de M

... la dernière fois, mais l’autre… j’allais consulter le mien. J’entre dans son cabinet, il me pose les questions d’usage, du genre :— Rien de particulier, pas de douleur ici ou là, avez vous eu des rapports dernièrement, se sont-ils bien passés ? Etc. Bon, on va voir ça de plus près, déshabillez-vous, le haut aussi et installez-vous ! Il enfile ses gants, me malaxe les seins puis, m’écarte la chatte ; il fait son boulot, quoi. Après avoir vérifié l’état de mon col, il me dit que tout va bien. Il enlève ses gants, va au lavabo, se lave les mains. Moi, toujours sur sa table de plaisir, attendant qu’il me dise de me rhabiller, je sentais une petite goutte humide couler vers ma rondelle. Ça m’avait un peu émoustillée qu’il me tripote et donc, je me sentais mouiller un peu, normal… Il repasse à côté de moi, se replace entre mes jambes, prend tout un temps à me regarder dans les yeux puis son regard descend à mon entrejambe qu’il regarde attentivement. Moi je me demandais s’il venait de voir quelque chose d’anormal… Subitement, je me rappelai l’état dans lequel j’étais… Gênée, quoi… J’ai fini par comprendre qu’il regardait ma cyprine s’écouler, tout simplement… Puis il me glissa un doigt dans le vagin, le ressortit et m’en fourra deux en même temps. Il les remua quelques secondes et me dit :— Oui, oui, je confirme, tout va bien… vous pouvez vous rhabiller. Le salop, je suis persuadée qu’il en avait profité pour me doigter.— Je constate que de te rappeler ta visite au gynéco, ça ...

... t’excite et tu mouilles copieusement.— Il y a un peu de ça, mais c’est surtout parce que j’ai envie que tu mettes la bouteille de « coca ». Je veux savoir si elle rentre toute entière. Et, il est nécessaire que je mouille bien pour faciliter l’opération. Je me rendais à l’évidence, il me fallait devenir introducteur. — Par le cul ou par le goulot ?— Eh… j’ai dit dans la chatte… pas dans le cul !— Non, la bouteille, tu veux que je l’enfonce par le cul ou par le goulot ?— Idiot, j’avais compris… On peut même plus rigoler avec un fourreur comme toi ! On va commencer par le goulot, après on verra. Elle plaça son petit cul sur le bord du lit, s’écarta un maximum. Son abricot était tout luisant. La cyprine dégoulinait sur le sillon de ses fesses, jusqu’à sa pastille fripée. — Oh putain c’est froid, tu aurais pu réchauffer un peu l’engin.— Tu es tellement bouillante que tu vas réchauffer ça toi-même.— T’es un vrai bourreau ! Vas-y, pousse doucement s’il te plaît !— C’est bien, tu es une petite fille bien élevée, polie comme il faut mais, salope…— Tais-toi et pousse… docteur ça m’écarte mais ça fait un peu mal sur les bords…— Veux-tu que j’arrête ?— Ah non, ça commence à devenir bon. Pousse encore, en tournant. Oui. Pousse, enfourne. Oh, tu peux pas savoir… Encore, encore, je sens le goulot au fond de mon ventre… Putain… Je vais jouir… Remue encore, comme si c’était ta queue… Aaaaaaah… c’est top bon ! Bourre, bourre-moi ! Ooooooh… Ouuuuuuuuh… Putain, je jouis… Je lui laissai la bouteille ...