1. Rêve ou réalité


    Datte: 21/10/2020, Catégories: fhh, extracon, cocus, inconnu, vacances, parking, caférestau, vengeance, revede, Oral nopéné, humour,

    ... bon, je suis prêt à toucher la poitrine de madame… Celui-là ne manquait vraiment pas d’air ! Sophie a levé les yeux vers lui et m’a regardé en pouffant de rire, ce qui m’a de suite détendu. Je m’adressai alors au VRP : — Désolé monsieur de vous avoir mêlé à ça, mais tout ceci n’était qu’une conversation privée et nous nous sommes laissés emporter.— Dans ce cas, excusez-moi… Sophie intervint alors : — Non, non, restez là et venez à côté de moi ! Puisque j’ai été mise au défi et que vous vous proposez, ma poitrine est prête… En disant cela, elle bombait le torse. — Comme cela nous verrons bien si je suis aussi inintéressante que ça ! Je suis Sophie, mon mari David, asseyez-vous, allez, ne faites pas le timide maintenant !— Bonjour Sophie, bonjour David, moi c’est Jean-Pierre. Plus de première jeunesse mais bon ! Vous voulez que je… comment dire… fasse ça ici ?— Dis-moi « tu », répondit Sophie, ça me mettra plus à l’aise.— D’accord Sophie. Je peux te toucher ici, alors ?— Allons-y, oui… Donne ta main. Elle le fit asseoir sur la banquette à côté d’elle, lui prit la main et la posa sur son chemisier au niveau de son sein droit. Je la regardai faire sans rien dire mais je commençai à m’inquiéter. — Alors David, tu vois que je peux encore me décoincer… Elle ne lâchait pas la main de Jean-Pierre, toujours posée sur son sein. — Sophie, tu ne me sembles pas coincée du tout, répondit Jean-Pierre.— Et je resterai des heures dans cette position… si David le permet. Je hochai la tête en ...
    ... signe d’assentiment. Sophie lâcha la main de Jean-Pierre mais se colla un peu plus contre lui tout en me fixant. Jean-Pierre commença à lui malaxer le sein de plus en plus fort, puis passa à l’autre. Sophie ne disait rien mais souriait et semblait me narguer. Tout ceci me parut très long, mais ne dura en fait qu’une ou deux minutes. — On pourrait peut-être sortir d’ici, si tu veux passer tes mains sous mon chemisier, dit Sophie d’un coup.— T’es vraiment sympa, toi… et il lui fit un bisou dans le cou. J’ai senti à ce moment que je n’avais plus beaucoup de prise sur les évènements. — Sophie, n’oublie pas qu’on doit reprendre les enfants au camping.— On a le temps, non ? Pour une fois qu’on fait quelque chose qui sort de l’ordinaire… En disant cela, elle défit deux boutons de son chemisier et écarta un peu son décolleté pour que Jean-Pierre puisse regarder… — Humm, sympa ta lingerie… On va dehors ?— OK, je te suis. Tu paies, David ? On t’attend sur le parking. Voilà, je sens que tout m’échappe ! Elle me prend pour qui ? — Non, attendez-moi ! On paie ensemble ! J’ai pas envie qu’elle parte avec ce mec alors qu’avec moi elle veut plus rien faire ! Ma parole, la jalousie me prend ! Pourtant dans mon pantalon je sens mon érection qui continue à grandir. Ça me rassure… et j’imagine que l’autre doit être dans la même situation, le salaud… — T’inquiète pas, mon amour, je vais pas filer avec Jean-Pierre, dit-elle dans un grand éclat de rire. Mon amour… Elle ne m’appelle jamais comme cela. ...
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