Rêve ou réalité
Datte: 21/10/2020,
Catégories:
fhh,
extracon,
cocus,
inconnu,
vacances,
parking,
caférestau,
vengeance,
revede,
Oral
nopéné,
humour,
... Le paiement ne nous prit guère de temps. À côté de moi, j’entendais Sophie glousser comme une gamine alors que Jean-Pierre lui chuchotait des choses à l’oreille. — Voilà, on peut sortir. À peine le seuil franchi, Jean-Pierre prit la main de Sophie et l’entraîna sur un des côtés du parking. Moi, comme un idiot, je suivais… — Viens par là, Sophie, il n’y a personne et on ne verra rien de la route. Sur le côté du restaurant, il y avait quelques camions stationnés et des conteneurs pour les déchets recyclables. — Approche par là, on sera tranquilles, lui dit Jean-Pierre en la tirant toujours par la main.— Doucement, on a le temps, répliqua Sophie.— Excuse-moi, mais je suis pressé de voir tes petits trésors à l’air libre.— Hi hi, gloussa Sophie, ben viens défaire les boutons du chemisier, alors ! Sophie se mit le dos contre le mur du restaurant et Jean-Pierre, s’empressant de venir devant elle, commença de suite à défaire les derniers boutons. Très vite, il écarta le chemisier pour apercevoir le soutien-gorge en dentelle blanche de Sophie. Celle-ci ne disait plus rien. Jean-Pierre fit glisser le chemisier de ses épaules pour le lui retirer. La scène était complètement ahurissante : Sophie, là, sur un parking, en soutien-gorge, devant cet inconnu qui a priori ne ferait fantasmer aucune femme, elle qui fait toujours attention à ce que je ne la vois pas en petite tenue ! Jean-Pierre avait à présent les mains sur le ventre de Sophie, et il remontait sur ses seins. À travers la ...
... dentelle des bonnets je voyais ses tétons qui pointaient déjà bien fort… Sophie commença à soupirer lorsque Jean-Pierre écarta un des bonnets, mettant à jour un téton. Celui-ci me sembla bien plus gros que d’habitude ; visiblement Sophie était très excitée… D’un geste, Jean-Pierre fit glisser les deux bonnets vers le haut et la poitrine nue nous apparut en entier… — Mumm, tes nichons sont vraiment mignons, Sophie… (et de ses grosses mains il les prit en entier.) Tu es vraiment bandante, tu sais… hein, tu sais que tu me fais bander ? Il se pencha pour embrasser ses seins et lui sucer les tétons. Sophie avait toujours les yeux fermés, mais sa respiration était de plus en plus rapide et entrecoupée de petits soupirs. — Tu veux baisser mon pantalon, Sophie ? J’ai envie que tu me touches la queue.— Non, pas ici, trouvons un autre endroit… On pourrait retourner au mobile-home, David, non ?— Écoute Sophie, je pense que ça suffit maintenant. Où veux-tu en venir, là ?— C’est toi qui me demandes ça ? Tu ne manques pas d’air ! Soit tu viens, soit tu restes ici, c’est tout ! Et j’espère pour toi qu’au moins tu bandes ! Elle replaça les bonnets de son soutien-gorge sur ses seins, reprit son chemisier et l’enfila sans même prendre la peine de le boutonner, puis se dirigea vers la voiture. Jean-Pierre se mit contre elle, lui mit la main à la taille et l’embrassa dans le cou à nouveau, mais Sophie tourna la tête vers lui et lui tendit ses lèvres. Ils s’embrassèrent à pleine bouche et cela me serra ...