1. Jeu de l'oie


    Datte: 23/10/2020, Catégories: h, fh, frousses, inconnu, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, hotel, amour, volupté, Masturbation entreseins, Oral 69, jeu, aliments, humour,

    ... Petit bébé, notre bébé. Tout ça… Je fonds comme un carré du chocolat laissé trop longtemps au soleil. Enfin, j’ai droit à un petit clin d’œil discret de sa part. Je reprends espoir. Après ce qu’elle m’a offert la nuit passée, je suis sûr qu’elle doit ressentir la même chose que moi. Je suis impatient de savoir ce qu’elle a pensé de mon message. Et de l’attirer dans ma chambre. — En conclusion, mesdames et messieurs, pour le dessert, souvenez-vous que les convives sont sensibles aux apparences. Le nappage crémeux et abondant dont vous recouvrirez la pièce montée vous garantira les plus beaux compliments. Et la joie manifeste de vos hôtes sera la preuve évidente du plaisir partagé. J’espère que mes informations techniques vous permettront dès aujourd’hui de combler vos invités avec des prouesses culinaires, et que vos connaissances en matière de fabrication du chocolat y joueront un grand rôle. Merci de votre attention ! Ah, la coquine ! Elle vient de répéter le dernier paragraphe de mon billet. Et j’ai bien entendu, elle a dit « dès aujourd’hui » et « combler vos invités » Si ce n’est pas un appel du pied, ça… En sortant, elle passe d’ailleurs discrètement par mon couloir et dépose une enveloppe devant moi. Elle contient un carré de chocolat et un mot « Si vous pensez pouvoir le faire fondre entre mes lèvres sans que cela me fasse grossir, je vous attends dans ma chambre… » Si j’ai bien suivi sa conférence, le point de fusion du chocolat au lait se trouve entre 36,2 et ...
    ... 36,5°C. Tel que je me connais, mes caresses devraient faire monter sa température intime bien au-dessus de 37°C, puisqu’elle me propose de m’occuper des « lèvres qui dégustent sans faire grossir ». L’épreuve ne me semble pas insurmontable. Mais c’est maintenant ou jamais… La porte de sa chambre est entrouverte. Je pénètre et la trouve allongée sous la couette. Elle m’accueille avec un grand sourire. — Je prends votre empressement à me rejoindre pour un compliment.— Je n’en peux plus depuis hier soir au restaurant. Vous voir si flamboyante ce matin m’a mis dans un état pas possible. Vous aimez jouer ainsi avec les nerfs de vos amants ?— Seulement ceux que j’imagine pouvoir garder quelque temps près de moi. Et puis j’ai adoré votre petit texte. Où en étions-nous ? Ah oui, « un nappage crémeux et abondant sur le chocolat », vous êtes prêt à me faire fondre ? Elle retire le duvet qui la protégeait et m’offre sa nudité. C’est la première fois que je vois une peau si blanche, si parfaitement lumineuse, et j’en ai le souffle coupé. En plus, les rondeurs que Judith me dévoile sont superbes, intimidantes même. Je pose ma main sur son ventre et le caresse délicatement. Ce que j’ai sous mes doigts est si doux, si chaud. J’approche mes lèvres de ses seins et câline tendrement les larges aréoles roses qui se plissent de désir. Judith a fermé les yeux, elle me guide par de légers gémissements. J’ose alors m’emparer de ses lourdes mamelles, à deux mains comme je l’avais fantasmé. Elles sont ...
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