1. Jeu de l'oie


    Datte: 23/10/2020, Catégories: h, fh, frousses, inconnu, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, hotel, amour, volupté, Masturbation entreseins, Oral 69, jeu, aliments, humour,

    ... fermes, gonflées de désir, ses tétons réagissent immédiatement et se tendent vers moi. J’essaie de les apaiser en les suçant, les enfonçant dans leur écrin de chair de la pointe de ma langue, puis je les fais surgir à nouveau à l’air libre, encore plus durs. Judith prend ma main et la fait descendre le long de son flanc, jusqu’à son bas-ventre. J’accompagne cette caresse de légers baisers et viens poser ma tête contre sa hanche, prenant tout mon temps pour respirer les parfums qui montent entre ses cuisses. Depuis le début, je bande douloureusement et chaque découverte aggrave mon état. Il faut que je libère ma queue de son piège de tissu. Sans cesser d’admirer le corps de Judith, je me relève et me déshabille en vitesse. Puis je viens m’allonger tête-bêche contre elle. Elle s’offre à mes baisers de plus en plus précis sur son ventre, sur le haut de ses cuisses et son mont de Vénus, orné d’un superbe buisson ardent. Peu à peu, elle écarte ses jambes, laissant apparaître sous mes yeux sa vulve rose foncé, gonflée de désir. Entre ses lèvres finement dessinées, je découvre le carré de chocolat dont elle avait parlé dans son petit mot d’invitation. Immédiatement, je le pousse du bout de la langue contre le clitoris qui tend déjà impatiemment sa petite tige. Judith saisit ma tête entre ses mains et la serre contre sa chatte, m’encourageant à continuer mes attouchements. Je prends tout mon temps pour la lécher, l’embrasser, écarter ses lèvres humides de petits coups de langue. Un ...
    ... peu de liqueur sort maintenant de sa fente juteuse. Je la recueille et la déguste avec délice. Etrangement, elle a un goût plutôt salé, légèrement acre même, sans aucune trace de la douceur du chocolat contre lequel elle a coulé. Je commence à paniquer, car si je veux satisfaire ma belle, je dois le faire fondre. Depuis que j’ai commencé à la caresser, aucun doute que je sois arrivé à faire monter sa température. Ses gémissements de plus en plus forts sont d’ailleurs là pour me rassurer sur le plaisir que je lui donne. Et pourtant, le chocolat résiste, pas le moindre début d’amollissement. Je décide d’employer les grands moyens. J’empoigne le corps de Judith et me mets à la masser de plus en plus fermement, à la malaxer en faisant virevolter mes mains de ses cuisses à ses épaules, lâchant ses hanches pour mieux pincer les pointes de ses seins, à la limite de la douleur. Je frotte ma verge contre son ventre, puis viens la glisser entre ses mamelles, comme elle l’avait imaginé hier au téléphone. Elle caresse mon gland du bout des doigts, récolte les gouttes qui coulent du méat dilaté et les déguste avec gourmandise. — C’est trop bon de vous sentir enfin contre moi. Vos caresses sont aussi douces que je les avais imaginées. Et votre queue est merveilleusement grosse. Vous ne m’en voulez plus pour ma moquerie d’hier soir ?— Vous le saurez quand je serai arrivé à vous faire fondre…— C’est fait depuis longtemps. Je suis si impatiente de vous sentir en moi. Je vous voudrais déjà tout ...
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