Nadine, la vengeance d'une maman (3)
Datte: 23/10/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Tous les soirs, avant d’aller me coucher, je m’arrêtais devant la chambre de Maman. L’idée qu’elle dormait nue, derrière sa porte fermée, m’affolait. J’hésitais, mais je n’entrais jamais : j’avais bien trop peur de la réveiller. Comment lui expliquer ma présence au pied de son lit, sans alibi ? Elle aurait compris mes intentions. Je ne voulais pas courir ce risque. Je la respectais. Mais j’étais si frustré que j’étais comparable à un chien affamé auquel on a jeté un os, et qui, une fois l’appétit ouvert, voudrait participer à un festin dont il se sait exclu d’instinct… Alors je retournais, penaud, dans ma chambre, et j’allumais mon ordinateur. Je consultais les sites spécialisés qui proposaient des histoires incestueuses. Plusieurs récits d’inceste mère-fils, d’un réalisme troublant, renforçaient mon obsession. Leurs auteurs y décrivaient, sans aucune morale et avec un talent certain, le genre de relation que je rêvais de partager avec ma mère. Car je ne voulais plus juste la voir nue : je voulais la baiser ! Je suis vite devenu un expert incollable en la matière. Je connaissais toutes les bonnes histoires dédiées au sujet. Je les évoquais mentalement, les adaptais librement afin d’élaborer mes propres scénarios pervers. Dans ce monde imaginaire que je m’étais crée, Maman ne me refusait rien, acceptait tout ce que je lui demandais. Elle assouvissait mes désirs les plus secrets. Je me masturbais sans arrêt. J’étais dans une impasse… Le vendredi suivant, je lui propose de ...
... prendre l’apéro. Je recommence mon petit numéro, j’insiste lourdement. — Dis-donc, Maxime, qu’est-ce qui te prend de me faire boire autant… tu as l’intention de me soûler ou quoi ? Sa remarque me coupe dans mon élan. Se douterait-elle de quelque chose ? — Bien sûr que non, Maman, pourquoi dis-tu ça ? J’ai trop attendu pour lui répondre. Elle me regarde par en dessous, à travers ses longs cils, comme si elle m’avait percé à jour. Qu’est-ce que je suis con ! Il n’est pas étonnant qu’elle se pose des questions. Je n’ose pas imaginer sa réaction si elle avait une idée de mes motivations. Je ne sais plus quoi dire. Je me tasse sur ma chaise, avec la désagréable impression d’avoir été pris en flagrant délit. — C’est bon, mon chéri, calme toi ! Si tu voyais la tête que tu fais… Elle repousse son verre d’un geste écœuré, comme si elle avait la nausée à la simple idée d’en boire encore une gorgée, et se lève de sa chaise avec un sourire forcé. — Tu as des restes dans le frigo… fais les toi réchauffer si tu as faim… moi je suis crevée… je vais me coucher… Elle m’embrasse sur le front, comme quand j’étais son petit garçon, puis se retire d’un pas vacillant. Elle a encore forcé sur la dose : ses somnifères avalés, elle ne répondra plus de rien… Plus tard, quand je pénètre dans sa chambre, elle dort ; elle ronfle avec les inflexions d’un ivrogne confirmé. Je découvre satisfait, qu’elle est assommée ; je pourrais faire d’elle ce que je veux. Comme j’ai consommé plusieurs verres moi-même, je ...