1. Nadine, la vengeance d'une maman (3)


    Datte: 23/10/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... suis victime de la douce torpeur, de ce sentiment d’invulnérabilité provoqué par l’ingestion massive de boissons alcoolisées. Aussi, est-ce sans la moindre appréhension que je rabats les couvertures à ses pieds. Maman ressent, du fond de son sommeil aviné, quelque chose qui la dérange, ou peut-être un simple courant d’air. Elle soupire, se retourne, bascule sur le dos ; sa chemise de nuit suit le mouvement, remonte sur son ventre. Elle baille, se racle la gorge, s’étire longuement à la recherche d’une meilleure position. Une fois qu’elle l’a trouvée, elle recommence à ronfler, paisiblement. Je ne bouge pas, je suis pétrifié ; je m’attends à ce qu’elle ouvre les yeux d’un instant à l’autre, mais elle ne le fait pas. Comme elle n’a pas de culotte, je lui vois la chatte ; je devine la fente, sous la toison noire et touffue. Elle a les jambes écartées. J’approche d’un pas, me dévisse la tête ; je distingue le renflement des lèvres entrouvertes, le liseré rouge des muqueuses qui dépasse. C’est la première fois que je vois un sexe de femme en vrai, et pas simplement sur une photo, ou en vidéo. Bien sûr, il m’est déjà arrivé d’observer la chatte des copines de mon âge avec attention, mais ce n’est pas du tout pareil. Cette fois, c’est le sexe de ma mère, celui dont je suis sorti que je regarde d’aussi prés, et à cette idée, mon cœur s’affole ; il bat si fort que j’ai l’impression qu’il va exploser. « Oh, Maman, ma petite maman rien qu’à moi…» Sa chemise de nuit ne lui couvre que ...
    ... partiellement la poitrine. Ses gros seins lourds débordent, s’échappent sur les côtés, devant, partout. Je me suis promis de seulement la regarder, de ne pas la toucher. Mais ses cuisses sont ouvertes, sa vulve est offerte ; je vois ses beaux nichons, j’aperçois les aréoles un peu grumeleuses et rosâtres, les mamelons qui pointent ! Quand j’étais petit garçon, nous allions passer nos vacances en famille à la campagne, dans une ferme du Poitou. Je passais ma vie dans les jupes de ma mère, mais la fermière avait capté mon attention, elle me fascinait. Elle était robuste, le teint rougeaud, toujours sur le pied de guerre. Elle n’arrêtait jamais. Un matin, alors que j’étais seul dans la cuisine en train de boire mon chocolat au lait, elle s’est approchée de moi. Elle m’a invité à la suivre en secret, comme si nous complotions tous les deux. Elle m’a fait asseoir dans l’herbe grasse, puis a disparu dans son poulailler. Je ne savais pas ce qu’elle attendait, j’étais un peu effrayé. Quand elle est revenue, elle tenait un poussin dans chaque main et me les a tendus. Un beau sourire complice éclairait son visage. J’ai délicatement attrapé les petites boules fragiles et jaunâtres, sans hésitation. J’étais émerveillé, comme tous les enfants le sont par les bébés du règne animal. Je me souviens, aujourd’hui encore, de ce que j’ai ressenti en les saisissant. En posant mes mains sur la poitrine de ma mère, j’éprouve la même sensation, la même avidité un peu fébrile et maladroite. Ses seins ...