Mes premières rencontres
Datte: 24/10/2020,
Catégories:
ffh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
plage,
cérébral,
revede,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
humour,
prememois,
occasion,
... se regardent. Vont-elles me plaquer là ? Elles trouvent que je ne manque pas de culot. Mais elles finissent par sourire. Leurs pyjamas sont encore mouillés, elles dormiront en sous-vêtements. Caroline ôte son chemisier. Son soutien-gorge est bleu. Il fait légèrement pigeonner ses seins. Je ne détourne pas les yeux, je lui dis en souriant qu’elle est très jolie. Elle me remercie. Stéphanie est déjà en slip, elle vient d’affirmer que son soutien-gorge la gène et qu’après tout, sur la plage, le jeudi, qui est son jour de repos hebdomadaire… — Tu es très jolie aussi, Stéphanie ! Quel dommage ! Théâtral, mon soupir ! Elles rient de bon coeur, elles n’ont pas pris au sérieux mon aveu d’impuissance de tout à l’heure et elles voient bien maintenant que mon slip trahit abondamment mon grossier mensonge. — J’éteins la lumière, mes jolies ?— Oui, on veut dormir. Bonne nuit, Olivier.— Bonne nuit, Olivier.— Bonne nuit, Stéphanie, bonne nuit, Caroline. Nous voici dans le noir. Nous ne bougeons pas. Mon coeur cogne avec violence. Oserai-je avancer les mains à tâtons ? C’est peut-être prématuré. L’idée me vient d’être bon prince. La générosité, même hypocrite, est parfois payante. — Vous préfèreriez peut-être dormir l’une à côté de l’autre ? Vous voulez que je me mette au bord ? Silence. — Non, reste, murmure enfin Caroline. Eh bien voilà, c’est gagné ! — …Qu’est-ce que tu fais, Olivier ?— J’enlève mon slip de bain. J’ai trop chaud.— Oh toi, alors ! Tu es gonflé quand même !— À outrance. Si ...
... vous touchiez, vous en seriez étonnées.— Prétentieux, va ! Mais aucune main ne s’avance pour vérifier. — Vous savez, tous les garçons ne sont pas forcément égoïstes et maladroits. Pas de réponse. — Le problème, c’est que vous êtes deux. Si l’une d’entre vous est plus impatiente que l’autre, qu’elle le dise. Toujours pas de réponse. Mais le corps de Caroline est secoué par un petit rire. — Bon, je renonce. On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif. Je vais me débrouiller tout seul, mais vous le regretterez. Toute votre vie vous penserez à cette occasion ratée. Ça bouge à ma droite. Une main tâtonne, cherchant la mienne, là où elle est, sur mon pubis. Stéphanie la pose sur le sien. Où est donc passé son slip ? Ah, il est un peu plus bas, sur les cuisses. Ma main revient se poser sur une touffe souple et chaude. Mon majeur cherche aussitôt la fissure, et pèse sur un petit bouton, qu’il caresse doucement. Ça bouge à ma gauche. Caroline remue mais ne me touche pas. Si. Une main rampe sur mes cuisses puis sur mon bas-ventre. Elle entoure ma verge, qu’elle presse fermement. Ma main gauche trouve sans peine une chatte entrouverte. Le slip a disparu. Mes doigts battent la mesure de la chamade de mon coeur. Si Caroline ne relâche pas son étreinte, je vais jouir trop vite. Elle le comprend, car sa main se glisse sur ma poitrine, palpe l’épaule… Ah, elle cherchait l’autre bras, elle suit le biceps, et se rend compte. — Steph, il te caresse bien ?— Pas trop mal. Et toi ?— Oui. Oh, oui… ...