Mes premières rencontres
Datte: 24/10/2020,
Catégories:
ffh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
plage,
cérébral,
revede,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
humour,
prememois,
occasion,
... Silence. Stéphanie se soulève, chasse ma main. C’est pour enlever complètement son slip et écarter grand les cuisses. — Viens, Olivier, lèche-moi. Caro, il s’occupera de toi tout à l’heure. Il m’est possible de satisfaire Stéphanie tout en câlinant les seins de Caroline, dont les pointes sont dures entre mes doigts. Quant au clitoris de Stéphanie, il palpite entre mes lèvres. Ma langue ne tarde pas à s’immiscer un peu plus bas. Elle est y reçue très favorablement, saluée par des mouvements de hanches et des soulèvements de bassin, qu’accompagnent soupirs et murmures. — Oui, oh oui, continue…— Et moi, et moi ? soupire très vite Caroline.— …Oh ! Profonde détresse de Stéphanie quand je la quitte ! Pour compenser un peu, je caresse ses seins. Elles sont désormais hanche contre hanche. Cette fameuse odeur des rousses, légende ou réalité ? Chaque femme doit avoir sa propre senteur. J’aime celle de la petite Stéphanie, le goût un peu acidulé de sa cyprine, les effluves de sous-bois de sa toison très souple. Sous-bois et myrtilles. Caroline serait plutôt steppe brûlante, avec un arrière-goût de miel du Caucase. Quel enchantement de passer de l’une à l’autre, suscitant gémissements de frustration quand je délaisse et grognements d’allégresse quand je reviens ! Mais je veux autre chose. Elles aussi ? Elles aussi ! J’ai quitté leur poitrine pour, à tâtons, trouver sur une étagère l’indispensable capote. Inutilement parfumée, nous n’en sommes plus là ! Caroline soupire d’aise quand je ...
... la pénètre. — Oh oui, Olivier, viens, viens… La plainte rauque de Stéphanie manifeste sa déception. Il faut que je me partage équitablement. Il m’est facile de passer de l’une à l’autre ; pour gagner du temps elles me guident de leurs petites mains avides, me rappellent à l’ordre quand elle jugent que mon séjour chez leur copine dure trop. L’excellente adéquation de ce terme à la situation me fait rire doucement. Leurs griffes rendent mon transfert de plus en plus difficile. Chacune veut me garder. Je mordille leurs tétons. Loin de les calmer, cette gentillesse les pousse à l’égoïsme. — Et moi ?— Et moi ! Tu m’oublies, Olivier !— Viens, viens, je t’en supplie !— Mais viens donc, et reste ! Caroline va jouir, Caroline jouit. …Eh bien, moi aussi ! Stéphanie sanglote de déception. C’est pourtant vers sa bouche que mes lèvres allaient, pour établir un semblant de justice. Elle est furieuse, elle se frotte le clitoris avec véhémence. Je m’en aperçois car il faut que j’enlève sa main pour me faire une place. Que croyait-elle ? Je suis encore rigide ! Plus pour très longtemps, peut-être, mais cela suffit, la voilà pantelante et repue, elle aussi. La nuit est un enchantement, dans cette douce torpeur… qui provient de la raréfaction de l’oxygène, évidemment. Suave sera la mort en ce fourgon, une tête brune sur mon épaule droite, une rousse sur la gauche, et quatre mains emmêlées sur mon pubis, mais Éros doit vaincre Thanatos une fois encore. Je me lève pour entrouvrir la porte. Les ...