Le séminaire - Partie 2 - Désir intense
Datte: 25/10/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
amour,
jalousie,
BDSM / Fétichisme
massage,
confession,
nostalgie,
... lover contre moi, sa peau est tellement douce et elle sent si bon… La suite est assez similaire à notre dernière nuit, nous nous enlaçons et nous embrassons fougueusement sauf que cette fois quelque chose a changé chez elle. Léa ne semble plus faire preuve de la même retenue, elle se livre totalement, elle n’a presque plus d’hésitation. J’ai envie de plus de contacts cette fois, je lui propose d’enlever le peu qu’il nous reste de vêtements et, cette fois, aucune résistance. Elle est sur le dos lorsque je saisis les deux côtés de sa culotte. Elle soulève alors son bassin et je la fais glisser le long de ses jambes, révélant sa petite toison claire. J’enlève ensuite mon caleçon et viens me placer entre ses jambes, redressé, comme si j’allais la pénétrer. J’ai les mains sur ses genoux, mon sexe en pleine érection est posé sur son pubis. La vue est exceptionnelle : le rideau de la chambre n’est pas totalement fermé et la lueur de la lune nous éclaire faiblement en ajoutant des effets d’ombre. Elle est là, devant moi, nue, excitée, offerte et je suis au-dessus d’elle, nu, le sexe bandé et gonflé d’excitation. Mais elle n’avait pas menti et ses petits tracas féminins ne nous permettent pas d’aller plus loin. Nos sessions de caresses s’enchaînent, cette fois elle n’a plus de gêne ou de pudeur et ses mains parcourent l’intégralité de mon corps en s’attardant tout particulièrement sur ma partie la plus intime. Après une intense session de caresses, de langoureux baisers, de ...
... frottements l’un contre l’autre, je m’allonge finalement sur le dos avec la fatigue qui commence à m’envahir. Elle se blottit dans mes bras et nous nous endormons ainsi tous les deux. Un certain temps après m’être assoupi, dix, trente, cinquante minutes ou plus, je ne pourrais pas le dire, je sens quelque chose me tirer de mon sommeil. J’ouvre les yeux et la vois à côté de moi, assise sur ses talons, toujours intégralement nue, avec un grand sourire en train de masturber mon sexe dur et totalement dressé avec sa main. Elle ne tremble pas, n’est aucunement gênée comme elle l’était la première nuit, au contraire, elle a cet air espiègle. Elle savoure et s’amuse du plaisir qu’elle procure. Depuis combien de temps je suis en érection ? Difficile à dire, mais elle commence presque à me faire mal. J’ai tellement envie de lui sauter dessus, de lui faire l’amour, de me libérer de toute cette excitation et frustration contenue. Je sens comme une nécessité de jouir. Malheureusement, ses caresses ne suffisent pas et elle ne semble pas décidée à joindre ses lèvres à l’acte (je ne veux pas lui demander, je trouve ça déplacé, ça doit venir d’elle). Au lieu de ça elle se penche vers moi et me murmure à l’oreille : « il faut dormir… ». Décidément, elle est pleine de surprises et sait comment faire mijoter un homme. Le reste de la nuit passe lentement, avec de courtes phases de sommeil perturbées par la barre rigide que j’ai entre les jambes. Au matin, après un petit déjeuner, nous reprenons tous les ...