1. Le séminaire - Partie 2 - Désir intense


    Datte: 25/10/2020, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail hotel, amour, jalousie, BDSM / Fétichisme massage, confession, nostalgie,

    ... deux nos trains partant dans deux directions opposées. Une fois arrivé chez moi, la maison étant vide, j’allume l’ordinateur et je me masturbe devant la première vidéo que je trouve afin d’extirper toute la frustration. Au moment de jouir, je ferme les yeux et son corps apparaît, sa bouche, ses seins, ses hanches, son petit cul, son intimité… Les jets qui sortent de mon sexe sont impressionnants, je me sens délivré, pour l’instant… Un délicieux retour Les jours passent et la deuxième et dernière partie du séminaire approche, il va bientôt être temps pour moi de faire mes valises et d’y retourner. Mon collègue et moi avions pris soin de réserver le même gîte que lors de la première partie. Depuis plusieurs jours, les échanges par messages se sont intensifiés. Léa m’a invité, le soir de mon arrivée, à venir dîner chez elle et j’ai énormément hésité à accepter. En effet, arrivant un dimanche en début de soirée après trois semaines d’absences, le gîte serait vide et peu de restaurants encore ouverts. Léa m’a donc proposé de cuisiner un petit quelque chose pour nous deux. Cependant, depuis la première nuit chez elle, je sentais que, de son côté, les barrières commençaient à tomber (surtout au niveau de son comportement). Nous avions échangé au sujet de notre situation et plus particulièrement de la mienne (non célibataire) et nous étions d’accord sur le fait que certaines limites ne devaient pas être dépassées au risque d’amèrement le regretter et de gâcher notre « amitié ». Avec ...
    ... du recul, cette façon de penser me fait maintenant rire. Le point à ne pas dépasser avait déjà été franchi depuis longtemps. Cependant, nous avions innocemment convenu la pénétration comme étant l’interdit absolu, le moment à partir duquel nous basculerions dans le mal. Je m’interdisais de le faire, car je ne voulais pas réellement tromper ma femme et Léa, qui est une fille correcte, nous l’interdisait, car elle ne voulait pas être une voleuse de mari, une maîtresse. Elle ne voulait pas non plus que je puisse avoir des regrets par rapport à notre relation et encore moins que je la voie comme une erreur. Ce discours est, avec du recul, totalement incohérent et absurde. Mais il faut comprendre que nous étions dans une sorte de bulle et en plein effet tunnel. Chaque fois qu’une barrière était franchie, nous la repoussions. L’attirance était trop forte entre nous et les moments que nous étions en train de vivre tellement beaux, on aurait dit deux adolescents en pleine découverte. Cependant, je commençais à sentir que la volonté de respecter l’interdit ultime, du côté de Léa, s’estompait et que, de mon côté, je perdais toute raison dès le moment où nous étions seuls. C’est pourquoi, en toute lucidité lorsque j’étais loin d’elle, j’essayais d’éviter de créer ce genre d’occasion, seul à seul avec toute la nuit potentiellement devant nous. Malgré tout, dans un élan de confiance et faussement rassuré par l’obligation de rentrer dormir au gîte pour ne pas éveiller les soupçons de mon ...
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