Les yeux plus gros que les couilles
Datte: 26/10/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... cheveux, je peux donc te tailler le maillot et ce sera gratuit pour toi. André ouvre le placard, côté cuisine pour la troisième fois et se sert sur le fond, un tube tombe de ses mains encombrées sur ma chaussure, je le ramasse et j’ai juste le temps de lire les caractères gras « Lubrifiant chauffant mentol, fraise » - Maintenant j’y fonce, ouvre l’œil. En cas de panne, je te ferai signe, viens prendre la relève. Je lui mettrai le bandeau sur les yeux et tu pourras la bourrer, elle n’apprendra jamais la substitution. Montre-toi à la hauteur. Tu es marié, tu sais baiser, alors vas-y, plante lui ton organe, défonce-la, grouille, fouille, touille et vide-toi les couilles. Avec ma préparation, elle s’envolera. Mais ne fais pas le con, ne me blâme pas. Je me rattraperai demain ou après-demain. Ça va, tu bandes bien. Bonne beuille ! « Aujourd’hui on rase gratis » C’est vrai pour ma femme. Le coach sportif s’applique, tire la peau vers le haut, rase, vers le bas, sur le côté, le couteau tremble au bout couvert de poils et de mousse blanche qu’il essuie dans une serviette. mais le travail avance, l’homme a des habitudes, de l’entraînement. Je m’étais étonné de la calvitie pubienne de presque toutes les partenaires qui venaient chercher chez lui d’intenses instants de bonheur. Julie seule bénéficie du traitement de faveur. Pourquoi mentol et fraise ? Elles ont-elles accepté ce service sans adoucissant ? Il n’a rien épargné, Julie présente une plage blanche fendue verticalement et rit ...
... sous la chatouille des doigts qui répandent généreusement sur sa peau claire les plots du contenu de lubrifiant. Et pour ne rien négliger, André enduit de cette pâte l’extrémité de ses doigts et chasse le feu autour des petites lèvres de nacre rose et jusqu’à l’intérieur -La crème à raser mal essuyée pourrait te donner des boutons, argumente-t-il pour excuser l’intrusion de son majeur et de son index dans le vagin de moins en moins indifférent. Au moment choisi le pantalon et le caleçon tombent sur les pieds d’André. Sa main gauche saisit sa verge encore tombante, l’astique et la présente sans avertir à la porte des délices qu’entre ouvrent les doigts de la droite et -Vlan ! Son ventre s’est collé aux fesses. -Ah! Qu’est-ce que c’est ? dit Julie qui cesse de gigoter sous l’effet affolant du lubrifiant - C’est moi, je n’en peux plus de t’aimer et de me retenir. Je veux te prendre. Donne-toi à moi mon,amour. - Mais, André, tu es fou. Combien de fois t’ai-je déclaré que j’aime mon mari. Il ne faut pas faire ça. - Oublie-le donc. Sois mienne, mienne pour la vie. - Arrête -Quoi, ce n’est pas bon ? -Ce n’est pas ce que je dis. Mais cesse d’aller et venir en moi. C’est extra, mais il ne faut pas. Jamais depuis mon mariage , je ne me suis offerte ou ouverte à un autre homme que le mien. J’étais si fière de lui être fidèle. - Tu n’es pas infidèle, c’est moi qui ai franchi l’anneau. Mais ce n’est rien. Ne lui en parle pas et il ne le saura pas. Ce qui compte ce n’est pas ce qui existe, ...