1. Les yeux plus gros que les couilles


    Datte: 26/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... mais ce qui paraît et ce qu’il continuera à croire. Profit de l’instant présent, cesse de créer des états d’âme destructeurs pour trois ou quatre centimètres de pénétration , applique notre devise « Je suis une femme libérée. Je veux disposer librement de mon corps; et desserre l’étau de tes jambes. - Ce n’est pas juste, pour trois centimètres de verge peu consistante, tu viens de me faire perdre l’estime de moi-même. Seulement un petit bout pour une aussi grande perte de considération personnelle. - Mais tu as tout gagné dans mon estime qui est en hausse ! - Je préfèrerais que ta queue soit en hausse de manière que tu achèves enfin ce que tu as si lamentablement commencé. Ton produit de glisse m’échauffe, c’est insuffisant. Quoi ? Tu as eu les yeux plus gros que les testicules, jeune crétin! - Merde, aussi. Avec tes »J’aime mon mari, je lui suis fidèle » et avec tes regards de victime d’un viol, tu me coupes la chique à la fin. Suis-je venu te chercher. Qu’est-ce que tu attendais de moi en montant les trois étages en te foutant à poil sur mon lit, en écartant les brancards sur la table et en m’envoyant dans le nez des bouffées d’odeur de sexe? Il faut savoir si tu es venue pour me refiler un billet d’avion ou pour t‘offrir.. Pourquoi ces vacances en Tunisie à deux Jure que tu n’espérais pas m’acheter, que tu ne voulais pas qu’on baise, ici, ce soir et là-bas pendant tout le séjour. Alors, finis tes lamentations. Je ne supporte plus les reproches de très regards. Tu vas ...
    ... garder ce bandeau rouge sur les yeux et je t’envoie le reste du morceau. - Comme un taureau le rouge t’excite? Bande et bourre moi, que ça en vaille la peine. Cesse les beaux discours et agis, j’en ai marre d’attendre que tu veuilles ou que tu puisses. Passe du rêve à la réalité Je n’en reviens pas. Julie est enragée, elle exige le complément. André a repris ses choses en main, se masturbe désespérément, cherche l’orifice, promène son gland du clitoris à l’anus dans l’espoir que la chatte aux aguets sautera sur sa souris au prochain passage et l’avalera. - Ah ! J’y suis, je pousse, ça s’ouvre. - Va, pousse plus fort. Mais tu plies, comme le roseau, une poutre de chêne serait de circonstances, mieux venue pauvre gamin. - Ne te moque pas de moi. C’est tout ce que tu as appris en autant d’années de mariage. Tu es aussi nulle quand ton mari débande ? - Voilà la différence. Quand il m’entreprend, il se présente en forme, les couilles gonflées de désir et d’amour, pleines à ras bord, il ne me cache pas les yeux parce que je l’intimide comme tu dis, il me serre amoureusement dans ses bras, m’embrasse, me dit des gentillesses sincères, me grimpe dessus, se creuse sa place tout seul, s’installe confortablement sur et dans mon ventre, ne cherche pas midi à quatorze heures mais m’empoigne et me secoue, me bouscule et me fait jouir. Il n’a pas besoin de tubes de lubrifiant pour m’exciter. Il ne me couvre pas de transpiration avant de toucher le fond ou de cracher deux gouttes de sperme. ...