1. Ronan et Gwénaëlle à Paris.


    Datte: 16/10/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... partageaient également un studio dans une commune de la proche banlieue. Les trois filles étaient assez semblables. Toutes les trois avaient une silhouette longiligne agréable à contempler, assez grandes avec des formes menues mais quand même bien marquées et mises en valeur par des sweatshirts et pantalons bien ajustés. De longs cheveux plus ou moins foncés tombant sur les épaules encadraient un visage ovale à peine maquillé. En attendant d’être servis, j’ai pu remarquer Gwénaëlle et Sophie, qui, assises côte-à-côte sur la banquette, n’arrêtaient pas de se frôler les mains, de se parler à l’oreille. Bref, je ne savais pas qui courtisait l’autre mais, connaissant ma sœur, je pense qu’elle avait déjà du poser quelques banderilles pour faire succomber Sophie ! De mon côté, j’ai entrepris de faire plus ample connaissance avec Amadine qui était dans sa première année d’études supérieures. Faute d’avoir trouvé une autre solution, elle avait été contrainte de se loger en colocation avec Sophie, mais soulignait-elle, elle ne partageait pas les goûts de cette dernière. Elle avouait franchement qu’elle était gênée quand elle avait ramené plusieurs fois d’autres filles avec qui elle avait passé des nuits assez tapageuses. Le repas terminé assez rapidement, horaire du film oblige, nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans l’obscurité des la salle, dans l’ordre Gwénaëlle et Sophie à ma gauche et Amandine à ma droite. Vers la fin du film, il y a eu quelques scènes assez violentes ...
    ... et Amandine s’est collée contre moi, prenant ma main dans la sienne pour la serrer. En me penchant vers elle, je lui dis à l’oreille : - Ne crains rien, ce n’est que du cinéma ! - Je sais, mais je ne peux m’empêcher ! J’ai toujours eu peur de ce genre de scène car je ne peux manquer de penser que cela arrive dans la vie réelle ! - Hélas, la violence est partout dans ce monde ! Il était bien plus de minuit quand le film s’est terminé. En sortant de la salle, Amandine a glissé son bras sous le mien et nous sommes sortis derrière Gwénaëlle et Sophie, qui elles, se tenaient tendrement enlacées par la taille. En marchant, je sentais la hanche d’Amandine heurter doucement la mienne et la chaude rondeur d’un sein peser sur mon avant bras. Nous nous sentions bien ensemble. Nous somme rentrés tous les quatre à notre appartement. Ma sœur et Sophie étaient de plus en plus chaudes à se rouler des pelles ou se peloter ouvertement dans le métro ! Je ne voulais pas qu’Amandine rentre seule chez elle car elle avait un peu de chemin à faire à pieds depuis le terminus de la ligne. J’offrais de lui céder mon lit alors que je coucherais sur le canapé. Ce n’est pas que je n’avais pas envie de lui faire l’amour car elle était désirable mais je ne voulais pas la croire fille facile, prête à coucher dès le premier soir. Aussitôt arrivées, Gwénaëlle et Sophie se sont réfugiées dans la chambre de ma sœur d’où des éclats de rire et des gloussements sans équivoque n’ont pas tardé à fuser. Assis l’un à ...
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