1. Ronan et Gwénaëlle à Paris.


    Datte: 16/10/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... côté de l’autre sur le canapé, je bavardais avec Amandine et nous nous sommes confiés nos projets d’avenir… Elle devait rapidement terminer ses deux années de B.T.S. car ses parents ne pourraient pas financer de longues études. Elle nous enviait un peu de pouvoir poursuivre aussi longtemps des études supérieures. Nous nous sentions bien ensemble mais, une fois encore, je ne voulais pas aller trop vite même si Amandine me plaisait de plus en plus ! Lorsque je l’ai conduite dans ma chambre, nous nous sommes souhaité une bonne nuit en nous embrassant comme deux copains. De retour dans la pièce commune, j’ai pris une couette et un plaid et je me suis allongé sur le canapé. Quelques heures plus tard, j’ai été éveillé par Amandine qui avait froid. C’est vrai que je ne chauffe pas ma chambre… et elle ne portait que son soutien gorge et un tanga assortis. Elle grelotait littéralement, tremblant comme une feuille des pieds à la tête : - Viens sous la couette avec moi, tu verras, tu ne tarderas pas à te réchauffer. Nous nous sommes couchés l’un contre l’autre, Amandine lovée dans mes bras en me tournant le dos, nous nous sommes rendormis rapidement... Au petit matin, je me réveillai avec une érection impossible à dissimuler qui tendait mon slip et se trouvait logée entre les fesses d’Amandine qui dormait encore. J’avais un bras passé sous son cou et je ne voyais pas comment faire pour me dégager et chaque fois que je voulais prendre un peu de distance, j’avais l’impression que le ...
    ... petit cul d’Amandine se collait encore plus contre moi ! Soudain, une murmure : - Fais-moi l’amour ! J’en ai envie, je suis si bien dans tes bras ! Comment résister à une telle invitation ? Pendant que je cherchais un préservatif et que je me couvrais, Amandine a fait glisser son tanga et, restant dans la même position qu’au réveil, elle m’a attendu : - Viens, prends-moi à la paresseuse ! Je me suis glissé derrière elle qui a écarté ses fesses et une cuisse pour que je puisse la pénétrer ainsi. Lorsqu’elle a senti que j’étais engagé dans sa chatte, elle s’est reculée d’elle-même pour que j’entre complètement : - Oh oui ! Prends-moi bien ! Et je l’ai prise ainsi, me glissant entre ses fesses menues et empaumant un sein encore maintenu par son soutien gorge. Qu’elle était étroite mais oh combien accueillante ! Sa chatte était littéralement inondée de cyprine ce qui m’a facilité la pénétration. Quand mon ventre a été collé contre les globes charnus de son cul, Amandine s’est poussée contre moi, violemment comme si je pouvais encore aller plus loin. J’ai passé mon autre main par-dessus sa taille et je suis allé la mettre par devant dans la fourche de ses cuisses. Une fois en place, j’ai massé son Mont de Vénus avec ma paume, faisant crisser doucement les poils de son pubis. - Ouiii ! Continue ! C’est bon ! Lentement j’ai commencé les allers-retours en veillant à ne pas sortir de son vagin étroit. Elle accompagnait mes mouvements de petits cris et de soupirs discrets mais l’un comme ...
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