Première séance en studio (1)
Datte: 29/10/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
J’aime bien ma petite chatte. Déjà, j’aime bien le nom. Chatte. Je ne sais pas quel génie a eu l’idée de donner ce sobriquet félin à ce lieu de plaisir, mais quand je caresse son doux pelage dans l’intimité du noir de ma chambre, et plus encore quand elle me fait ronronner, je ne peux qu’être d’accord. Elle est jolie, ma petite chatte. Les poils doux et bruns, naturellement peu envahissants, forment un écrin à deux grandes lèvres bien définies, bien jointives tout du long – à moins qu’une mauvaise pensée ne me traverse l’esprit. Les hommes qui l’ont vue, il y en a quelques uns, m’ont toujours complimentée sur la beauté de ma chatte. C’est d’ailleurs cette qualité esthétique qui m’a valu l’aventure que je vais vous raconter ici. Je suis à l’aise avec mon corps, des vacances en camping naturiste m’ayant sûrement aidée dans cette voie, et me montrer nue est non seulement naturel, mais aussi un grand plaisir. J’ai eu souvent l’occasion de discerner le trouble qu’engendre mon corps exposé dans le regard des hommes. J’ai donc saisi l’occasion qui se présenta à moi un jour de devenir modèle pour un cours de dessin. Un petit job d’étudiante affamée, et une occasion excitante de s’exhiber. Lors de ce cours, par session de vingt minutes, je m’exposais sensuellement, nue, aux yeux d’un groupe majoritairement masculin. Après vingt minutes, une petite pause (vous n’imaginez pas comme c’est exigeant de tenir la pose) pour déambuler, toujours nue, au milieu de ces artistes débutants, aller ...
... voir et commenter leurs dessins. Après quelques sessions, je m’offrai une petite pause cigarette dehors, juste cachée d’un t-shirt trop court pour tout masquer, sur le palier de l’escalier de secours, desservi par une petite porte au fond du couloir. Un autre fumeur vint me rejoindre. Un bel homme, la quarantaine en forme. Il alluma sa cigarette, et après quelques banalités d’usage, il me complimenta sur mon corps et me fit savoir qu’il était photographe professionnel. Il cherchait à apprendre le dessin pour s’améliorer dans son art. — Votre corps m’inspire beaucoup, vous avez la morphologie qui correspond au travail que je suis en train de réaliser. Je n’ai jamais dit ça à aucune femme, mais votre sexe est d’une beauté remarquable. — Ah oui ? Et c’est quoi ce travail ? — Je fais une série sur le corps féminin et le regard. Des poses et des éclairages qui mettent en avant le regard du modèle, tout en attirant aussi l’attention sur leur corps. Faire naître un trouble dans le regard du spectateur, en somme. Avec vos yeux et votre sexe, tous trois si parfaits, j’ai très envie d’une séance en studio avec vous. — Pourquoi pas, répondais-je, l’aventure me tente… Rendez-vous était donc pris. Les consignes étaient strictes : pas de maquillage, pas de vêtements moulants, ni de sous-vêtements, afin de ne pas faire ces marques qui prennent du temps à s’estomper. Me voilà donc habillée d’une robe légère, nue en dessous, pour traverser la ville et me rendre au studio. Les frissons causés ...