Première séance en studio (1)
Datte: 29/10/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... par le vent caressant mes cuisses nues jusqu’en haut étaient démultipliés par la peur d’être entièrement dévoilée d’une rafale plus lubrique que les autres. Arrivée à l’adresse, j’étais accueillie par le photographe. Il me présenta à son équipe, un maquilleur, deux assistants, un technicien. Le studio était impressionnant, grand, très bien équipé. Un grand fond déroulant, des flashes et des boîtes à lumière à ne plus pouvoir les compter, vraiment un studio professionnel. Il était très fier de préciser qu’il travaillait en argentique, et pas en numérique. Sans perdre de temps, en l’écoutant, je retirai ma robe pour m’habituer à la température du lieu. Un coup de maquillage, une petite retouche de coiffure, et me voilà au centre de tous les regards. On essaya plusieurs poses. Chacune prenait un temps infini, de réglages de lumière, d’ajustements au millimètre. D’abord debout, l’air ingénue, puis allongée, langoureuse, l’artiste n’était pas très satisfait du rendu. Si avec ses précédents modèles il avait essayé de mettre en avant leurs seins, leur ventre, leurs fesses, j’étais la première à être là pour mon sexe. Je proposais, en la montrant, une pose comme sur le tableau « L’origine du Monde », mais on se mit finalement d’accord pour une pose assise, par terre, les genoux jointifs, mais les chevilles éloignées pour laisser apparaître ma petite fente. Mes mains posées sur mes genoux soutenaient ma tête, légèrement penchée. Mon buste penché, mes seins s’écrasaient contre mes ...
... cuisses. Afin de parfaire le rendu, le maquilleur vint même me mettre un peu de fond de teint sur mes grandes lèvres. Très troublant d’exposer son intimité de la sorte pour se la faire poudrer, masser, par un professionnel qui ne montre aucun signe d’excitation… Je reprenais la pose, travaillant le regard pour captiver le spectateur, tout en lui exposant sans mystère ma chatte, offerte à l’objectif. J’avais peur que mon excitation se voit, que l’humidité intime ne tache le fond de teint et trahisse mes envies les plus inavouables du moment. — Vous pouvez essayer d’écarter un peu vos fesses avec vos talons ? J’ai besoin qu’on voit mieux. Je m’exécutai, me contorsionnant dans une position de moins en moins confortable. Je me mettais un peu plus accroupie, et laissait mes talons écarter un peu ma peau, tirant légèrement sur mon sexe, séparant légèrement les grandes lèvres. Je me disais que là, ça devait vraiment luire sous les lumières. Ce que le photographe nota. Il glissa quelques mots au maquilleur, qui vint, en se penchant, éponger et poudrer encore un peu mes lèvres. Le contact, eût-il été un peu plus prononcé, m’aurait fait jouir en un éclair. — OK, rajoute un peu de puissance sur le 4, merci ! Baisse un peu le ventilateur, Kevin. OK. Bon, on la tente comme ça. Attendez, bougez plus. Un peu plus de lumière sur l’entrejambe. Oui, le regard, vers moi. Baissez un peu la tête. Oui, bien. Regardez moi, comme si j’étais un pervers qui ne voit que votre sexe et que vous rabrouez. ...