Claude-Marie: Cahier 2 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 2

... mère et rapidement je sens sa main à travers la vulve pleine de cyprine et de mon sperme. Jessica retire sa main bien lubrifiée et place les bouts de ses cinq doigts sur ma rosette. Lentement, elle pousse et étire l'entrée de mon anus. J'ai l'impression de sentir mon anus se déchirer sous cette pression, mais mon degré d'excitation fait que je la laisse faire malgré la douleur et la brulure que me cause ce viol de mon fondement. Puis tout à coup, elle cesse de pousser. La douleur est aussi moins grande. Je la sens caresser mon anus avec sa langue et je réalise qu'elle a trois doigts bien ancrés en moi. Seuls son pouce et son auriculaire ne sont pas en moi, ils sont bien appuyés de part et d'autre de ma raie. Les autres doigts sont enfoncés dans mon rectum jusqu'aux jointures. Elle place son autre main entre moi et ma mère. Elle me force à m'écarter puis elle prend ma queue à moitié sortie du cul de ma mère. Ainsi elle se met à me masturber pendant que ma mère m'embrasse à nouveau avec vigueur. Je me laisse faire et je commence à participer plus activement à mon excitation en avançant et reculant les hanches. Je pilonne ainsi pendant de longues minutes l'anus de ma mère pendant que d'une main ferme Jessica me masturbe. Je m'écarte un peu de ma mère et après un dernier effort je m'effondre sur ma mère tout en jouissant à nouveau. Jessica retire sa main pour que je pénètre plus à fond ma mère qui elle, serre ses muscles fessiers comprimant mon sexe. Je sens les doigts de ...

... Jessica sortir lentement de mon cul qui me semble vide tout à coup. Je ressens une grande fatigue qui m'emporte et avant même que mon sexe se dégonfle et qu'il se retire du fondement de ma mère je m'endors.Mardi 30 juillet 2002 Quand je me réveille, les deux femmes dorment à mes côtés. Mon anus me fait mal et je me sens sale. Le soleil est couché depuis longtemps et nous sommes dans une noirceur toute relative puisque la chambre baigne dans la lumière de la lune bien présente. À mon second réveil, je réalise que je suis maintenant seule dans le lit. Une lumière froide pénètre par la fenêtre. Je regarde le réveil de ma mère, il indique 6 h 17. Quand je regarde par la fenêtre, je ne vois qu'un brouillard dense. Je hume l'odeur de la pluie récente et des rôties. Je ressens encore un inconfort dans mon fondement. Quand finalement je décide de me lever, il est 6 h 30. Mon cul me fait mal quand je marche. Cela me fait penser à ce qui s'en vient avec Max. Est-ce que j'ai bien réfléchi avant de m'engager par rapport à Max, suis-je vraiment prête pour faire un si grand saut? J'entre dans la cuisine où je m'attends de trouver Jessica et ma mère, c'est toutefois Max et ma mère que je trouve là. Max se tourne vers moi et me sourit avant de me parler. « Bonjour beauté! Tu n'es pas venue me voir hier soir? » Encore endormi et surpris, je lui réponds. « Allo Max, allo maman. Je m'excuse pour hier. » Puis en me retournant vers ma mère, j'ajoute : « J'ai eu un contretemps. Jessica n'est pas là? » « ...