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En panne 1
Datte: 30/10/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... écarter son string en le coinçant sur une fesse, mais après une hésitation qui me parut étrange. N’étais-je pas, en dehors du corps médical, l’homme le mieux placé pour examiner son sexe endolori ? Alors pourquoi cette soudaine pudeur devant moi ? La vulve était moins enflée, le vestibule du vagin reprenait une allure normale, le rouge des parois tournait à un rose encore soutenu, je crus même apercevoir quelques traces blanchâtres : Monique avait vraisemblablement appliqué cette pommade qu’elle déclarait avoir en réserve ? Ou celle prescrite par son médecin dont elle ne parlait pas. L’extrémité de mon index humide de salive appliquée délicatement sur son clitoris fripé provoqua un bond surprenant pour moi et pour elle qui en fut toute gênée. La guérison était moins avancée qu’elle n’aurait cru pouvoir l’annoncer. Je lançais une nouvelle perche. - Tu devrais consulter. Tu souffres peut-être d’une infection urinaire qui menacera tes reins. Mais je n’en saurais pas davantage. Je prêchais le faux, mais elle ne réagit pas. Elle aurait pu me contredire, résultats d’analyse à l’appui, mais comme je n’étais pas censé être au courant, elle laissa planer un doute. Je poussai au crime : - D’ailleurs je vois apparaître quelques bourrelets bizarres. - Ah! Bon, tu crois ? Dans ce cas je consulterai demain. Je venais de lui fournir le motif d’un examen à effectuer ouvertement avec des résultats à annoncer à ce mari soucieux de sa bonne santé. Mais je n’en revenais pas de son silence ...
... obstiné à propos de l’analyse ou de la prescription du médecin. L’enveloppe restait invisible.. Et surtout, une chose m’intriguait maintenant en raison de ce mutisme. Je ne me souvenais pas de m’être montré brutal au cours de nos rapports sexuels, d’avoir rudoyé son vagin ou d’avoir malmené son clitoris avec des caresses trop appuyées. Il m’arrivait au contraire de me demander si ma façon de faire l’amour n’était pas trop douce. Peut-être aurait-elle préféré plus de fermeté de ma part, des élans plus vigoureux. Nous en avions discuté récemment encore avant l’incident. Monique m’avait rassuré, j’étais le mari parfait selon ses dires. Quel effet mécanique pouvait causer de tels ravages sur son sexe ?Je suggérais : - Les strings en matières synthétiques pourraient être à l’origine de frottements insidieux et malfaisants en raison de leur habitude de se glisser dans les fentes et les raies au point d’y disparaître sournoisement lors des mouvements et déplacements. La remise en place dans l’espace public n’est pas élégante. - Tu as raison, voilà une cause probable. Je suis toujours assez gênée de ne pas pouvoir corriger l’accident dans la rue ou les couloirs. Je dois subir ces frottements jusqu’au moment bienvenu où je peux rectifier la position du tissu quand je suis à l’abri des regards. Mais que faire ? - Peut-être revenir à ces bonnes vieilles culottes de coton, plus larges et de plus absorbantes en cas de transpiration dans cette zone du corps. Cela devrait diminuer le risque ...