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Rencontre au Malmont (1)
Datte: 31/10/2020, Catégories: Gay
Mon histoire n’est pas vraiment qu’un fantasme. Cette aventure a réellement eu lieu mais en plusieurs fois. Mon problème est que je ne sais dans quelle rubrique je dois la classer. Donc en "divers" je pense qu’elle pourra être acceptée. Le 22 octobre 2015. Une journée plutôt fraiche si l’on ne s’exposé pas au soleil. Ma femme étant partie voir sa sœur, je me retrouve seul à la maison et je me fais suais à en mourir. Alors, pour passer le temps, je m’épile les sourcils puis, pour rire, je me maquille les yeux avec les nouveaux produits que ma femme venait de s’acheter. Oh, et puis lancé dans mon délire, j’enfile des bas avec les portes jarretelles de la même couleur (Noir) plus une belle petite culotte noire avec de la dentelle rouge sur les bords. Je lui prends un soutient gorges rouge que je garnis de mousse. En me regardant dans la glace et je me trouve « belle ». Même sans perruque. OH !... L’HORREUR ! Je n’ai pas mis de rouge à lèvre. Je rectifie de suite cet oubli. Après avoir mis un beau chemisier presque transparent avec des volants le long du boutonnage et le bas se terminant en ailes d’hirondelle. Une fois les pointes attachées, j’ai le ventre à l’air. J’enfile un pantalon (qui a bien du mal à couvrir le haut de ma raie fessière) et une paire de chaussures à talons compensés. Je décide de ne pas mettre de perruque et je pars pour le Malmont… Après cinq ou six kilomètres, me gare à l’ombre de trois petits arbustes qui me protègent de la vue des éventuels ...
... arrivants. Puis je vérifie mon maquillage. Tout est ok, alors j’arpente le chemin qui mène à la table d’orientation en regardant chaque départ de sentier Mais personne en vue, donc je retourne à la voiture pour une attente. Après vingt minutes et aucune voiture arrivant je commence à trouver le temps long. Je vois la cuve de réserve d’eau en cas d’incendie, je me dis qu’il serait possible que des types soient en train de se palucher derrière. Je prends mon sac où j’ai mon matériel de femelle en rut et me dirige vers la cuve mais personne. Aujourd’hui c’est le désert. Je continu donc à avancer mais avec des talons haut la chose n’est pas aisée, la zone n’est constituée que de caillasses qui glisse ou roule sous les chaussures. Je me tords les pieds tous les deux mètres parcourus. Brusquement j’entends une voiture arriver. Je me retourne pour voir qui cela peut-bien être. Le véhicule se gare juste à côté de la mienne. Un homme en descend. « ah il est seul ». Puis il ouvre la portière arrière. « Oh pas de chance il est surement là pour dégourdir les pattes de son chien » Alors je m’apprête à faire demi-tour quand je le vois sortir un sac à dos. Il referme sa voiture et avance dans ma direction. Alors je reprends mon chemin dans la descente. Mais je suis curieux de savoir qui il est, aussi je m’arrête et donne l’illusion que je regarde la petite route en contre bas. Il ne s’écoule pas une minute quand j’aperçois la tête du type apparaitre au sommet du monticule de caillasses, aussi je ...