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Rencontre au Malmont (1)
Datte: 31/10/2020, Catégories: Gay
... reprends doucement ma marche avec l’espoir qu’il me rattrape. J’entends les pierres qui glissent sous ses pas. Ils deviennent de plus en plus distincts et de plus en plus proches. J’ai un petit pincement au ventre. « Pourvu qu’il cherche la même chose que moi » Je ressens une excitation me gagner de plus en plus forte. Instinctivement, je marche en balançant le cul. « Mon dieu ! Il est juste derrière moi ». Brusquement c’est comme un coup de tonnerre. — Alors ma salope… Le sexe shop ne te suffit plus, que tu viennes t’assouvir au Malmont ? Je ne le reconnais pas de suite mais je lui dis quand même bonjour. — Puisque que tu es là, à faire appel en remuant ton popotin, plus bas je connais un coin où tu vas pouvoir me vider les burnes. L’autre jour tu m’as fait ça très bien mais j’en veux plus… Allée vient. Tout en le suivant comme un idiot, j’essaie de me souvenir quand et où je l’ai vu… Et brusquement la mémoire me revient. Effectivement il y a de cela trois semaines je me rendis au sexe shop de la ville dans un accoutrement similaire à aujourd’hui. Je pris un DVD porno et payai une heure de cabine. Le gérant m’attribua la cabine numéro trois. Une fois dans la cabine je me mis à l’aise (c’est-à-dire sans pantalon pour montrer que je suis dispo, avachis dans le fauteuil, à regarder la vidéo avec ma petite culotte baissée et mon manche bien en main). La scène présentait un minet qui pompe un gros dard. Je regardai la scène avec envie. J’aurais bien pris la place du minet et je ...
... me mis à bander grave. Il faut dire que le dard était si gros qu’il avait bien du mal à tout l’engloutir. Mais son propriétaire semblait en avoir cure et lui plaquait la tête pour l’obliger de l’avaler. Quand le gros bambou ressortait, des filets de bave reliaient la bouche du minet au gland. C’est à ce moment-là que je vis, par la lucarne de droite de la lumière scintillait. « oh chouette ! Il y a un occupant à la quatre ». Il faut dire que chaque cabine est équipée, de chaque côté, d’une lucarne en relation avec les cabines voisines. Chacune d’elles ont des opercules permettant de s’isoler ou non, et ceux communicants entre la trois et la quatre étaient tous les deux ouvertes. Aussi je me précipitai pour voir qui fut mon voisin. Je le vis complètement nu. Les jambes tendue, le cul juste sur le bord du fauteuil et allongé de tout son long. Il caressait son manche. Il me vit, Il me sourit, puis continua à regarder son film. Je fus très déçu, j’espérai le voir venir et me présenter son outil, ou de me faire signe de le rejoindre. Mais là rien, il continua à se caresser. Dépité je retournai à mon fauteuil et regardai mon film. Le minet était à quatre pattes sur le bord d’un lit et le type lui léchait la rondelle. Je pouvais voir la langue lui titiller l’anus et le môme couinait son plaisir ---------------- Mais pour l’instant, au Malmont, je continus de suivre le type en slalomant entre les blocs de pierres et les arbustes. Il me guide avec une main sur mes fesses et je sens ...