1. elle 20 ans, lui 70 ans... (6)


    Datte: 17/10/2017, Catégories: Erotique,

    Justine était heureuse, je l’étais encore plus qu’elle. Jeune et fraiche, elle était pour moi comme un oasis de bonheur. Elle semblait insouciante et fragile. Curieuse et désireuse d’apprendre et j’avais envie de devenir son professeur. J’avais pris énormément de plaisir à découvrir ce corps juvénile, à le toucher, la caresser et lui faire l’amour. Lafaire jouir et être à la hauteur fût grande fierté, mais je m’étais étonné aussi à me voir de temps en temps quelque peu autoritaire et directif avec elle et il me semblait qu’elle avait apprécié ce style de situation. Je la regardais nue devant moi. Elle s’affairait à ranger un peu son appartement et avait pris un malin plaisir à accepter ma proposition quand elle avait voulu s’habiller en me disant qu’il fallait qu’elle remette un peu en ordre son studio. - Et pourquoi as-tu besoin de t’habiller ? Lui avait je alors dis. En fait, elle n’avait pas explicitement accepté, mais elle avait commencé simplement son ouvrage en restant en tenue d’Eve, ce qui implicitement voulait donc me répondre positivement. J’étais sorti du canapé lit, je m’étais habillé, elle m’avait regardé sans rien dire. Elle acceptait ainsi rester nue devant moi alors que j’étais pour ma part vêtu. J’ai ensuite voulu replier le canapé. - Non, laisse-moi faire... Me dit-elle, puis elle enleva les draps et replia seule le convertible. - Assieds-toi, je n’en ai plus pour longtemps. Dit-elle en posant un petit baiser sur mes lèvres. Son ton n’était pas autoritaire, ...
    ... mais tendre. Quand elle se baissait pour ramasser un objet ou un vêtement, elle le faisait à chaque vois de manière à exhiber ses fesses arrondies. Agréable spectacle qu’elle m’offrait sans aucune pudeur. Je m’en régalais tout comme celui de sa poitrine, qui était certes menue, mais adorable. Ses seins étaient en forme de poire avec une petite auréole et des tétons qui pointaient, fiers d’être ainsi exposés au regard du connaisseur que j’étais. Quand tout fut débarrassé, elle prît un aspirateur balais et voyant que je souriais en la regardant le manipuler elle l’enfourcha comme une sorcière sur un balai magique et commença un semasturber sur le manche en me regardant droit dans les yeux. - Ça suffit, travaille ! L’ordre était sec, je n’avais montré aucun signe de complaisance, aucun sourire n’était venu atténuer mon propos. Sans rien dire, elle reprit l’aspirateur de manière plus conventionnelle et s’activa à sa tâche. La besogne finie, elle déposa l’aspirateur balais dans son placard et s’approcha du canapé. Sans un mot, elle resta debout devant moi, attendant mes instructions. Elle se retenait de rire, mais semblait beaucoup s’amuser de ce jeu. Je me levais pour inspecter un peu la pièce. - Jolie boulot ! Dis-je en m’approchant d’elle. Ma main se posa sur ses fesses et les pelota doucement. - Bon, maintenant, montre-moi ce que tu as comme vêtement. - Pas grand-chose, je n’ai pas encore tout ramené… Me dit-elle en prenant un petit air enfantin. - Voyons quand même cela… déjà ...
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