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elle 20 ans, lui 70 ans... (6)
Datte: 17/10/2017, Catégories: Erotique,
... barre, il posa sa main proche de la sienne. Puis fit semblant de perdre l’équilibre et en cherchant à le reprendre, sa main s’agrippa à Justine. Le geste faussement involontaire fit atterrir sa main sur la poitrine de Justine. Il ne voulait pas la draguer, mais simplement la peloter. Il me chercha du regard et me chercha à me faire comprendre ce que je savais déjà ; elle n’avait pas de soutien-gorge et cela l’excitait au plus haut point. Cela m’amusa et je fis signe au coquin de glisser sa main sous sa jupe. Justine n’avait pas été dupe de l’opération « pelotage des seins » de son comparse, mais me voyant complice avec lui elle n’avait pas bronché. De même, elle a compris le message que je passais au gredin et savais très bien qu’il s’appliquait aussi à elle. Elle décida donc, non seulement de le laisser faire, mais de lui faciliter la tâche en écartant légèrement les jambes. Il hésitait, car il ne savait qu’elle était consentante et s’il pensait que son pelotage était passé inaperçu par sa victime, il n’ignorait pas qu’elle remarquerait cette nouvelle folie. Il posa finalement la main sur les fesses de Justine, mais au-dessus de la jupe. Celle-ci n’eut aucune réaction. Il caressa un peu et elle resta toujours aussi impassible. Un grand sourire illumina alors son visage, il me regarda à nouveau, me fit un grand clin-d-œil et glissa sa main sous la jupe. En voyant la tête du fripon, je n’ai pas pu me retenir d’éclater de rire. Sa main avait doucement remontée la jambe nue de Justine. Il était heureux de la voir si passive et continua enjoué par « collaboratrice » si « compréhensible ». Quand il arriva à l’endroit où il pensaittrouver une étoffe de coton ou de dentelle, il ne trouva que peau nue etpoils légèrement humide. Le train s’arrêta, nous étions arrivés à destination. Je me suis levé, j’ai pris la main de Justine et nous sommes sortis. Le temps qu’il réalise, la porte était déjà fermée.