1. Les autres


    Datte: 17/10/2017, Catégories: nympho, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour, sf,

    ... penchée appuyée contre le haut du dossier, les yeux braqués vers le plafond. Il gémissait vaguement tandis qu’Éloïse, agenouillée à côté de lui, était penchée sur son entrejambe, les fesses en l’air, que Raoul lui caressait doucement. — Faites comme si on n’était pas là ! dis-je sèchement. Mais c’est effectivement ce qu’ils faisaient. Ils n’avaient même pas l’air ne nous avoir remarqués. Je pris la bouteille de scotch et mon verre, puis allai me servir une cigarette dans le paquet que Raoul avait laissé sur la table. Pendant ce temps, Juliette était allée s’asseoir avec un grand sourire sur le fauteuil qui faisait face au canapé et observait attentivement Éloïse s’acharner sur le sexe tendu. Fumant, les yeux dans le vide, et ne prêtant plus la moindre attention aux gémissements croissants de Raoul, j’essayai de deviner la suite possible des événements et de déterminer la meilleure conduite à adopter. Une ou deux minutes durent passer, au bout desquelles la voix naïve de Juliette perça la douce torpeur ambiante : — Il semblerait que le sexe de Raoul soit plus petit que le vôtre, Gufti… Je levai vers elle des yeux égarés. Mais Raoul rétorqua avec un sourire : — Moins gros, vous voulez dire. Oui, très légèrement, peut-être… Mais Éloïse s’arrêta de le sucer, se redressa et considéra la queue tendue sur le ventre de son propriétaire : — Non, résolument moins gros, en fait, trancha-t-elle. Je me marrai tandis que Raoul se rembrunit. — Mais vous allez voir, mesdemoiselles ! fit-il ...
    ... ensuite. La taille ne fait rien à l’affaire ! Venez voir, Éloïse. Il la saisit par les hanches et celle-ci se laissa guider jusqu’au-dessus de ses cuisses, où elle s’assit dans un râle après qu’il eut redressé son sexe bien vertical. Et ils commencèrent à s’agiter tous les deux brutalement sous les soubresauts qu’imprimait Raoul sans retenue. Je me mordis la lèvre ; il n’allait pas tarder à tout découvrir, quand elle allait jouir et lui exploser entre les mains. Devais-je tout arrêter avant qu’il ne soit trop tard ? J’hésitai. Mais j’avais confiance en Raoul. Et d’un autre côté, ce ne serait pas mal de ne pas être tout seul dans cette galère. Autant tout lui faire savoir. — Attention ! dis-je à mon ami, avec un sourire. Tu risques d’avoir une surprise vers la fin. Mais Raoul était à fond. Il ne m’avait probablement pas entendu. Il limait Éloïse à toute berzingue, à une cadence hallucinante, tout en lui léchant et lui tétouillant avidement les seins. Et il grognait sourdement et longuement, tandis qu’elle couinait à chacun de ses va-et-vient. Juliette se leva soudain pour s’approcher de moi : — J’ai très envie de sexe, Gufti, me susurra-t-elle avec un sourire qui en disait long.— Euh… ben, moi pas trop, rétorquai-je bêtement. Une immense déception se peignit immédiatement sur son magnifique visage. Je repris, en désignant Raoul : — Tu n’as qu’à attendre qu’il ait fini Éloïse, et puis tu pourras essayer avec lui, si tu veux…— Ah, oui ? fit-elle, paraissant quelque peu rassurée. ...
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