1. L'occasion


    Datte: 02/11/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, couple, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, initff, fsoumisaf,

    ... aussi. Inutile de nier, même le pire arracheur de dents ne saurait rien trouver pour justifier la situation. Bref, je viens de me faire surprendre avec ma maîtresse. Toujours stupéfaite, Béatrice est adossée au bâti de la porte de la chambre, la bouche grande ouverte, comme un poisson à l’air libre. Matilda est étrangement calme, quant à moi, je suis tellement surpris que je n’en débande pas du tout. Je me disais bien aussi qu’il n’était pas très intelligent d’inviter sa maîtresse sous le toit conjugal, mais impossible de dénicher une chambre libre avec cette série de colloques en ville. Néanmoins, par délicatesse, nous sommes dans la chambre d’amis. Pouvais-je savoir que ma femme allait revenir bien plus tôt que prévu ? Non… Béatrice reprend ses esprits : — Tu… tu… tu me trompes ?— Je ne peux pas dire le contraire…— Mais… mais je croyais que tout allait au mieux entre nous ! On refaisait… euh… enfin, au lit, quoi…— Oui, en effet, mais… comment dire… c’est Matilda qui… c’est elle qui a beaucoup fait pour nous deux… si tu vois ce que je veux dire… Matilda s’insère dans la conversation : — Je crois que Nono essaye de te dire que c’est un peu grâce à moi qu’il a repris du poil de la bête…— Nono ?— Oui, Nono, ton mari, mon amant… Béatrice se tourne vers moi, écarlate : — Et en plus, ta maîtresse, elle t’appelle Nono ?— Euh oui… je ne vois pas bien le rapport…— Et en plus, elle me tutoie ! Assise sur le lit, sourire aux lèvres, Matilda répond : — Bien sûr que oui que je te ...
    ... tutoie : nous sommes très intimes de par ton mari !— Ah ben bien sûr ! Ben voyons ! Je te signale que c’est MON mari !— Tu vois, toi aussi, tu me tutoies…— C’est pas le propos ! C’est MON mari ! Furieuse, Béatrice s’approche du lit et vient se planter face à Matilda qui se redresse : — C’est peut-être TON mari, mais avant que je n’intervienne, tu ne t’en souciais pas trop de TON mari !— C’est le mien, pas le tien, pouffiasse !— Regarde-toi, connasse ! Si je ne l’avais pas pris en main, ton mari, t’aurais pas eu ta dose depuis belle lurette !— Moi, une connasse ?— Oui, toi, une connasse ! Et elles se jettent l’une sur l’autre, roulant dans le lit. Il va falloir que j’intervienne, même si c’est délicat. Je suis flatté que deux femmes se battent pour moi, mais j’aurais préféré éviter ce genre de satisfaction ! Tant bien que mal, je m’interpose entre les deux furies qui s’empoignent sérieusement. Béatrice a son chemisier largement ouvert, et sa jupe de travers. Rien de tout cela pour Matilda puisqu’elle est déjà nue. — Ah toi, espèce de saligaud, ne me touche pas ! lance ma femme, en tentant de me donner un coup de poing dans la poitrine. Elles continuent à se battre malgré mes efforts pour les séparer. Il est vrai que j’évite d’y aller trop franco, de peur de faire mal. Elles roulent sur le lit, s’injuriant, leurs jambes battant l’air. C’est alors que je reçois un coup très mal placé dans l’entrejambe, coup qui me fait voir mille étoiles. Je tombe à la renverse dans un grand fracas, ...
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