L'occasion - Histoires de Sexe

L'occasion

... m’assommant dans la foulée. Quand j’ouvre les yeux, inquiètes, les deux femmes sont au-dessus de moi, debout… — Tu peux te vanter de nous avoir fait peur !— Ah ça, oui ! Je cligne des yeux… Beau spectacle que ces deux femmes au-dessus de moi, en petite tenue, l’une avec son chemisier largement ouvert et l’autre nue de la tête aux pieds… — Désolé mesdames… mais il y a des endroits très sensibles chez un homme !— Fais voir !— Eh oh ! C’est mon mari, c’est à moi de…— Et pourquoi toi et pas moi ? Immédiatement, se redressant, elles se jettent l’une sur l’autre et illico, elles tombent à nouveau dans le lit, se battant à nouveau ! Durant ce temps, tant bien que mal, je me relève, mon sexe faisant toujours aussi mal. Debout en spectateur, je laisse faire quelques instants, je ne tiens pas à recevoir à nouveau un coup de pied dans les parties. Je constate avec amusement que Béatrice perd de plus en plus ses vêtements dans la bataille… Peu de temps après, j’ai le plaisir de voir deux femmes nues aux corps entremêlés, aux membres noués l’un autour de l’autre, dans diverses positions équivoques ! Ma virilité, pourtant mal en point, en profite pour prendre du poil de la bête ! Je contemple, très intéressé, le spectacle qu’elles m’offrent… Soudain, d’un commun accord implicite, les femmes s’arrêtent de se battre, et couchées sur le lit, elles lèvent la tête vers moi, toujours en train de les contempler. C’est Matilda qui prend la parole : — Il fait quoi, ce grand cornichon au ...

... garde-à-vous ?— Chais pas, mais il est certain qu’il nous mate ! Je m’approche d’elles, un grand sourire aux lèvres : — Vous devriez savoir que l’un des fantasmes masculins les plus réputés est de pouvoir admirer deux femmes entre elles…— Chuis pas une gougnotte ! réplique ma femme.— T’as déjà essayé ? rétorque Matilda. Béatrice a un sursaut en entendant la réponse de ta rivale : — Ah ? Parce qu’en plus de piquer les maris des autres, t’es gougnotte ?— Eh ho ! Y a pas de mal à vouloir tester les deux bords !— Ah mais quelle horreur !— Comment ça ? Quelle horreur ?— Berk, berk, berk !— Comment ça, berk, berk, berk ?— Oui : berk, berk, berk et re-berk ! C’est alors que Matilda a une réaction à laquelle Béatrice ne s’attendait pas du tout, et moi non plus : elle se jette sur elle, seins en avant qu’elle aplatit sur ceux de sa rivale et l’embrasse tout de go ! Ma virilité, pourtant bien élancée vers le ciel, se transforme aussitôt en un parfait obélisque ! La bouche écrasée par celle de ma maîtresse, abasourdie, les bras faisant des moulinets, Béatrice subit, le corps tremblant. Matilda en profite pour pousser son avantage, sa main s’égarant nettement plus bas, dans l’intimité de sa vis-à-vis ! Je suis assez stupéfait de la tournure des événements ; inquiet, je songe :Matilda va se faire tuer dès que Béa reprendra ses esprits ! Et je m’attends au pire dans quelques secondes ! Béatrice fait toujours des moulinets avec ses bras, ses jambes en ciseaux, tandis que Matilda l’embrasse toujours ...