L'occasion - Histoires de Sexe

L'occasion

... pas à plonger ses doigts dans la chatte détrempée de sa rivale, croquant un téton, léchant un sein, embrassant à pleine bouche ! Ma femme se serait-elle leurrée depuis tant d’années sur ses préférences sexuelles ? Ce qui pourrait expliquer bien des choses ! C’est ainsi que quelques minutes plus tard, j’ai droit à un double concert de jouissance. Ça me fait tout drôle ! Ce qui est moins drôle est cette impression d’être éjecté de leurs petits jeux. Deux magnifiques femmes que j’aime qui se donnent du plaisir, qui jouissent, et moi, seul dans mon coin. Avec une pointe d’ironie dans la voix, ma femme s’adresse à moi : — Tu fais quoi, grand dadais ?— Je vous admire toutes les deux… Elle se tourne vers son amante : — On en fait quoi ? On le vire ? On le garde ?— On peut le garder. Ça te dirait de jouir doublement ?— Tu veux dire quoi par là ? Matilda caresse un sein de sa partenaire qui se laisse faire avec délice. Elle tend le bras pour agripper entre ses doigts mon sexe bien dressé : — Ça te dirait ce machin tout rose pendant que je m’occupe de toi ?— Je ne sais pas s’il l’a mérité ! Il m’a quand même trompée ! Et avec toi, je te signale !— Justement, sers-toi de lui comme d’un toy !— Comment t’arrives à être si naturelle avec une bite dans les mains ? C’est bien l’une des premières fois que j’entends ma femme utiliser un tel vocabulaire. — Oh, c’est tout simple ! J’aime les bites, j’aime les cons, j’aime les culs et plein d’autres choses !— Pour les cons, tu en as un beau à ...

... côté de toi ! Ma maîtresse zappe l’allusion, elle me branle un peu, tout en continuant sur sa lancée : — Je vais te dire une chose, Béatrice : la bite d’un homme, c’est fait pour me donner du plaisir, peu importe le trou par où elle passe. Mais uniquement là où je l’ai décidé.— Ah parce qu’en plus, tu te fais mettre par tous les trous ?— Si tu savais ! Je sais même jouer les Dominas !— C’est-à-dire ? C’est quoi encore que ce truc-là ? Me lâchant, Matilda se redresse puis s’agenouille. — Ça veut dire que c’est moi qui commande, et que c’est toi qui obéis.— Sans blague ?— Je t’explique : dans la Domination/soumission soft, la soumise ou le soumis obéit, elle trouve du plaisir dans ce qu’elle doit faire, dans l’humiliation parfois, mais en réalité, elle le souhaitait sans oser le dire. Tu comprends ?— Tu veux dire qu’elle fait semblant d’y être forcée ?— Oui, une bonne Domina exige de sa soumise ce qu’elle souhaite faire. Et celle-ci peut toujours prétexter ensuite qu’elle y a été forcée.— C’est… de la daube, ton truc ! Un marché de dupe ! Matilda se penche sur ma femme, elle lui caresse un sein, agaçant un téton déjà dur : — Oui et non, une façon de faire des trucs pas possibles…— Et les deux parties y croient ?— C’est le jeu… La méchante Domina a forcé la gentille et pauvre soumise… Ma femme a une curieuse lueur dans les yeux : — Exemple ?— Exemple ? Eh bien, petite poufiasse, tu vas te faire baiser par ton homme, tandis que tu me boufferas la chatte ! Béatrice ne répond rien, ...