L'occasion
Datte: 02/11/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
couple,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
initff,
fsoumisaf,
... aussi fougueusement. J’ai même la nette impression que ça lui plaît beaucoup ! Puis, les bras de ma femme se raidissent, doigts écartés, le temps semble figé. Alors les doigts crispés, Béatrice ramène lentement ses bras vers le cou de Matilda. Je n’aime pas trop la tournure des choses, je m’approche afin d’éviter le pire. C’est avec une certaine stupéfaction que je vois ma femme enlacer ma maîtresse dans un long baiser qui dure très longtemps ! Je m’attendais bien à quelque chose, mais pas vraiment à ça ! Encouragée par l’attitude de Béatrice, Matilda couvre de baisers les joues, le cou, puis glisse vers les seins à présent dévoilés de ma femme qui se laisse visiblement faire avec satisfaction. Soupirant d’aise, Béatrice écarte même les jambes afin de faciliter l’accès à sa chatte aux doigts agiles de ma maîtresse qui ne se fait pas prier ! Après avoir bien contemplé ce magnifique spectacle, je décide de m’inviter. J’y vais par petites touches, me contentant de furtives caresses et de rapides baisers ci et là. Puis voyant que je ne semble pas être éjecté, je m’enhardis à câliner plus posément les seins et les fesses offertes. Matilda présente un magnifique popotin qui s’agite, tant elle est occupée à bisouter ma femme et à la masturber en même temps. J’en profite pour embrasser ses belles fesses, glissant ma langue dans sa fente, chose qu’elle semble apprécier d’après les mouvements qui accompagnent mon activité. Béatrice gémit de plus en plus, elle guide carrément sa ...
... partenaire, à la recherche assumée de son propre plaisir. Soudain, elle explose, son corps totalement agité, la bouche ouverte dans une longue mélopée. C’est la première fois que je l’entends de la sorte exprimer son plaisir ! Pour un peu, je me sentirai vexé, mais l’agréable cul de Matilda atténue cette mini-blessure d’amour propre. Tandis que Béatrice s’apaise, ma maîtresse la cajole longuement, sensuellement. Elle se laisse faire telle une chatte en quête de câlins. Soudain, ouvrant les yeux et les braquant sur sa vis-à-vis, ma femme prend la parole : — C’est quoi ton prénom ?— Moi ? Matilda… Béatrice se redresse un peu, la regardant droit dans les yeux : — Tu es peut-être une poufiasse, et moi peut-être une connasse, mais tu sais y faire !— Merci, Béatrice… Se laissant retomber, ma femme tape du poing sur le lit : — Eh merde, j’aurais jamais cru être gougnotte !— Disons que tu es bi, ça t’arrange mieux ? Les yeux au plafond, Béatrice pince des lèvres, réfléchissant un peu avant de répondre : — Bi, ça sonne mieux… oui, en effet…— Tu vois, tout s’arrange…— Tout s’arrange ? Tu es bien optimiste, piqueuse de mari ! Mais si tu recommences, je reconsidérerai la situation ! Je suis assez stupéfait de cette réponse ; par contre, ça fait rire Matilda qui se fait un plaisir évident de recommencer son petit manège, largement aidée par une Béatrice très arrangeante pour l’aider au mieux. Elles recommencent à se caresser, et cette fois-ci, ma femme participe, recevant et donnant, n’hésitant ...