1. L'occasion


    Datte: 02/11/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, couple, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, initff, fsoumisaf,

    ... n’y ait plus rien du tout… --oOo-- Il est dix-sept heures trente, je quitte mon boulot et je me dirige vers l’hôtel. Je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’œil autour de moi tous les dix mètres. Je m’adosse alors à un arbre, me traitant d’imbécile et de crétin : c’est la meilleure façon d’attirer les regards sur moi que d’agir comme je le fais ! Je me dirige vers une croissanterie pour me commander un café. Je laisse passer un peu le temps, puis d’un pas plus calme, je me dirige vers l’hôtel. Ça va faire dix minutes que j’attends ; je consulte l’heure toutes les trente secondes. Pour la centième fois, je revérifie la chambre de long en large, de droite à gauche. Pour mon premier adultère, j’ai préféré mettre le prix, je n’aime pas trop les chambres anonymes. Je reconnais que ma chambre, notre chambre, n’est pas mal. Elle a son petit cachet personnel. J’entends des pas dans le couloir, je suis fébrile, je me rue vers la porte, attendant que Matilda toque. Mais les pas s’éloignent. Je suis décidément trop nerveux ! D’autres pas se font entendre. Cette fois-ci, trois petits coups se font entendre à ma porte : c’est elle ! Fiévreux, je vais ouvrir. Enfin, c’est bien elle qui est là en face de moi, avec un grand sourire ! Spontanément, j’ouvre grands les bras, je l’enlace et je la serre contre moi. — Eh ben, mon Nono ! Te voici bien audacieux !— Ah euh… Excuse-moi, je…— Non, non, ne me lâche pas, je suis très bien comme ça ! Oui, très bien ! Mais si on entrait plutôt que de ...
    ... rester dans le couloir ? Je m’exécute, et sans la lâcher, je recule dans le couloir de la chambre puis je referme la porte. Elle pose sa tête sous mon menton, j’entends distinctement son souffle régulier qui s’entremêle avec mes battements de cœur désordonnés ! Décidément, je suis vraiment un collégien à côté d’elle ! — Je constate que tu es très content de me voir !— C’est-à-dire ?— Je sens quelque chose de dur, de très dur… plus bas ! Rouge comme une tomate, je m’écarte d’elle ; elle rit doucement. La situation est gênante ! Matilda me tourne le dos pour aller inspecter la chambre : — Pas mal, pas mal du tout ! Tu n’as pas fait dans l’économie !— Autant marquer correctement le coup pour une première…— Oui, tu as bien fait, c’est une belle chambre ! Elle se retourne, je suis toujours en retrait dans le vestibule, tentant de masquer une bosse non négligeable sous mon pantalon. Elle rit : — Ah mon Nono ! Allez, viens !— Mais, enfin, là, je ne… enfin, tu vois…— Grand niquedouille ! À ton avis, on est venu faire quoi ici ? Du tricot ? Elle n’a pas tort, mais je reste un peu bloqué… — Allez, viens me reprendre dans tes bras ! dit-elle avec un large sourire craquant. Je cède aussitôt à sa requête. L’instant d’après, nous sommes à nouveau enlacés, bien serrés l’un contre l’autre. Taquine, elle s’offre même le luxe d’onduler du ventre, se frottant éhontément sur ma bosse qui n’en finit plus de grossir ! Je sens que ça ne va pas être triste avec une femme pareille ! — Tu ne m’embrasses ...
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